Le métier à tisser - Poche

Note moyenne 
Omar, le jeune héros de La Grande Maison et de L'Incendie, est devenu un adolescent grave et réfléchi. Il fait son apprentissage chez les tisserands.... Lire la suite
6,50 € Neuf
Expédié sous 6 à 12 jours
Livré chez vous entre le 26 mars et le 2 avril
En librairie

Résumé

Omar, le jeune héros de La Grande Maison et de L'Incendie, est devenu un adolescent grave et réfléchi. Il fait son apprentissage chez les tisserands. C'est dans un sous-sol à l'air raréfié, où la misère montre son visage émacié, qu'il va le mieux approcher du malheur secret de son pays. Nous sommes en 1940 et la guerre est encore trop loin pour que sa rumeur parvienne aux oreilles du jeune Omar. Mais il écoutera les interminables discussions entre les tisserands toujours à l'affût d'une espérance ; il apprendra combien il est difficile au sein d'une communauté écrasée par le labeur, la faim, le dénuement, de relever le visage quand le soleil même le blesse.
Dans un décor déjà familier aux lecteurs de Mohammed Dib, c'est tout un peuple qui tend la main non pour mendier mais pour saisir une autre main fraternelle.

Caractéristiques

  • Date de parution
    07/12/2001
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-02-051674-8
  • EAN
    9782020516747
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    202 pages
  • Poids
    0.105 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 18,0 cm × 1,3 cm

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos de l'auteur

Biographie de Mohammed Dib

Mohammed Dib est né à Tlemcen, dans l'ouest algérien. Ville natale à laquelle il rendit hommage dans sa célèbre trilogie : La Grande Maison (1952), L'Incendie (1954) et Le Métier à tisser (1957). Instituteur un temps, puis comptable, traducteur, journaliste à Alger Républicain et pour le compte de l'organe du Parti communiste Liberti, il est finalement expulsé d'Algérie en 1959. II s'installe en France et commence sa carrière littéraire.
Il est le premier écrivain maghrébin à recevoir, en 1994, le Grand Prix de la Francophonie. Et celui dont Aragon disait : "Cet homme d'un pays qui n'a rien à voir avec les arbres de ma fenêtre, les fleuves de mes quais, les pierres de nos cathédrales, parle avec les mots de Villon et de Péguy". Il est mort chez lui, à La Celle-Saint-Cloud, le 2 mai 2003, à l'âge de 83 ans, laissant derrière lui quelques-unes des plus belles pages de la littérature algérienne.

Du même auteur

Les clients ont également aimé

Derniers produits consultés

6,50 €