Le mécanisme. Langage, théorie, philosophie

Par : Jean-Alexis Aguma Asima
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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions15,7 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-343-13251-8
  • EAN9782343132518
  • Date de parution15/11/2017
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierGeorges Debane
  • PréfacierChristian Banakas

Résumé

La philosophie exposée dans cet essai est fondée sur la triple affirmation suivante : le mécanisme est un langage de caractère structural ; le mécanisme est une théorie scientifique, celle de la Mécanique, mais étendu aux systèmes ouverts il est une théorie scientifique en un sens distendu, entretenu par l'effet des parallélismes idéologiques et du voisinage des sciences dans le contexte duquel il a commencé à prendre corps ; enfin, le mécanisme est une philosophie conçue comme un système scientifique.
Les difficultés de cette philosophie viennent de ce qu'elle prétend s'identifier aux procédures, aux données et aux résultats des sciences. Le crédit philosophique à faire à la philosophie mécaniciste réside dans son ambition à sauver l'unité de la science et à retrouver l'idée de nécessité. Pour les philosophies de la finitude, ce projet est illusoire. C'est dans une confrontation avec ces philosophies que, peut-être, le projet d'une philosophie mécaniciste soit perdra ses illusions, soit trouvera tout son sens.
La philosophie exposée dans cet essai est fondée sur la triple affirmation suivante : le mécanisme est un langage de caractère structural ; le mécanisme est une théorie scientifique, celle de la Mécanique, mais étendu aux systèmes ouverts il est une théorie scientifique en un sens distendu, entretenu par l'effet des parallélismes idéologiques et du voisinage des sciences dans le contexte duquel il a commencé à prendre corps ; enfin, le mécanisme est une philosophie conçue comme un système scientifique.
Les difficultés de cette philosophie viennent de ce qu'elle prétend s'identifier aux procédures, aux données et aux résultats des sciences. Le crédit philosophique à faire à la philosophie mécaniciste réside dans son ambition à sauver l'unité de la science et à retrouver l'idée de nécessité. Pour les philosophies de la finitude, ce projet est illusoire. C'est dans une confrontation avec ces philosophies que, peut-être, le projet d'une philosophie mécaniciste soit perdra ses illusions, soit trouvera tout son sens.