Suite des aventures de cette famille japonaise pas tout à fait comme les autres, mais pourtant très internationale. Certes, on y apprend quelques particularités typiquement nippones quant aux mœurs et habitudes (exemple sur les tatouages et l'accès aux piscines), mais dans le fond, on peut tous s'y projeter.
Les graphismes de très bonne facture aident indéniablement. Simplicité et élégance.
On aborde dans ce second opus évidemment encore et toujours la question de l'homosexualité, de sa perception par les autres (cela fait peur, inquiète, le rejet est trop souvent là car les préjugés sont tenaces), de la prise de conscience de son homosexualité ou pas, de la manière d'en parler à autrui (faire ou ne pas faire son coming-out)...
On parlera aussi de la monoparentalité, si courante de nos jours. Les enfants du divorce sont sans nul doute majoritaires. Et alors ? Toutes les familles monoparentales ou non peuvent donner de l'amour et un cadre structurant aux enfants. Là encore, les préjugés dominent.
Bref, globalement, le message qui passe est celui de la tolérance envers l'autre qui peut être différent et pourtant si proche. Passer outre la bêtise et la cruauté des personnes à l'esprit étroit, tel est ce que je retiens pour ma part.
Suite des aventures de cette famille japonaise pas tout à fait comme les autres, mais pourtant très internationale. Certes, on y apprend quelques particularités typiquement nippones quant aux mœurs et habitudes (exemple sur les tatouages et l'accès aux piscines), mais dans le fond, on peut tous s'y projeter.
Les graphismes de très bonne facture aident indéniablement. Simplicité et élégance.
On aborde dans ce second opus évidemment encore et toujours la question de l'homosexualité, de sa perception par les autres (cela fait peur, inquiète, le rejet est trop souvent là car les préjugés sont tenaces), de la prise de conscience de son homosexualité ou pas, de la manière d'en parler à autrui (faire ou ne pas faire son coming-out)...
On parlera aussi de la monoparentalité, si courante de nos jours. Les enfants du divorce sont sans nul doute majoritaires. Et alors ? Toutes les familles monoparentales ou non peuvent donner de l'amour et un cadre structurant aux enfants. Là encore, les préjugés dominent.
Bref, globalement, le message qui passe est celui de la tolérance envers l'autre qui peut être différent et pourtant si proche. Passer outre la bêtise et la cruauté des personnes à l'esprit étroit, tel est ce que je retiens pour ma part.