Le Maréchal Victor. Claude Victor Perrin (1764-1841)

Par : Jacques Le Coustumier

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  • Nombre de pages425
  • PrésentationBroché
  • Poids0.62 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,3 cm
  • ISBN2-84736-049-2
  • EAN9782847360493
  • Date de parution24/06/2004
  • CollectionLa Bibliothèque Napoléon
  • ÉditeurNouveau Monde
  • PréfacierThierry Lentz

Résumé

Parmi les maréchaux de Napoléon, rares sont ceux qui n'avaient jamais fait l'objet d'aucune biographie. Avec Claude Perrin dit "Victor" , voici comblé l'un des manques les plus criants de l'historiographie napoléonienne. Ce solide Lorrain, engagé volontaire à dix-sept ans comme canonnier du roi, nommé général de brigade au siège de Toulon le même jour que Bonaparte, lie dès lors son destin à celui du Premier consul.
Engrangeant les faits d'armes dès Marengo, puis Friedland, où il est nommé Maréchal, il se morfond trois ans dans la péninsule espagnole. Il rejoint alors la campagne de Russie où il s'illustre en assurant le passage de la Bérésina et le sauvetage de ce qui reste de la Grande Armée, en retenant avec quelques milliers d'hommes, les armées russes à un contre cinq. Il aura encore une conduite glorieuse sur la plupart des champs de bataille jusqu'à la chute.
Blessé en mars 1814, il ne participe pas aux intrigues de Fontainebleau contre l'empereur. Comme la plupart des autres maréchaux, il fait allégeance au roi et lui restera fidèle pendant les Cent Jours. Ministre de la Guerre, il reste légitimiste jusqu'en 1830, où il s'oppose à Louis Philippe. Miné par ses blessures, il s'éteint en 1841, trois mois après le retour de Cendres. Avec une passion qui n'a d'égale que celle de son sujet, l'auteur nous fait revivre aux côtés de Victor ses grandes batailles, comme les bonheurs et les épreuves de sa vie civile.
Parmi les maréchaux de Napoléon, rares sont ceux qui n'avaient jamais fait l'objet d'aucune biographie. Avec Claude Perrin dit "Victor" , voici comblé l'un des manques les plus criants de l'historiographie napoléonienne. Ce solide Lorrain, engagé volontaire à dix-sept ans comme canonnier du roi, nommé général de brigade au siège de Toulon le même jour que Bonaparte, lie dès lors son destin à celui du Premier consul.
Engrangeant les faits d'armes dès Marengo, puis Friedland, où il est nommé Maréchal, il se morfond trois ans dans la péninsule espagnole. Il rejoint alors la campagne de Russie où il s'illustre en assurant le passage de la Bérésina et le sauvetage de ce qui reste de la Grande Armée, en retenant avec quelques milliers d'hommes, les armées russes à un contre cinq. Il aura encore une conduite glorieuse sur la plupart des champs de bataille jusqu'à la chute.
Blessé en mars 1814, il ne participe pas aux intrigues de Fontainebleau contre l'empereur. Comme la plupart des autres maréchaux, il fait allégeance au roi et lui restera fidèle pendant les Cent Jours. Ministre de la Guerre, il reste légitimiste jusqu'en 1830, où il s'oppose à Louis Philippe. Miné par ses blessures, il s'éteint en 1841, trois mois après le retour de Cendres. Avec une passion qui n'a d'égale que celle de son sujet, l'auteur nous fait revivre aux côtés de Victor ses grandes batailles, comme les bonheurs et les épreuves de sa vie civile.