Le marchand de sel et la mouche. Mon corps, mon gentil corps, dis - moi. L'ange de la mort. Une femme normale - à - en - mourir

Par : Jan Fabre
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.153 kg
  • Dimensions11,6 cm × 18,7 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-85181-460-5
  • EAN9782851814609
  • Date de parution01/06/2000
  • ÉditeurL'Arche

Résumé

Dès le début des années quatre-vingt, Jan Fabre s'est livré dans toutes les facettes de son œuvre à une étude du corps avant que cette pratique ne devienne "à la mode". Sa perception architecturale de l'espace scénique, son attachement à la danse, son interprétation particulière du théâtre comme une œuvre d'art total font de lui un auteur de théâtre unique : à la fois d'une exceptionnelle diversité et d'une rare homogénéité.
Ses pièces souvent des monologues sont plutôt discursives mais il n'y a nul doute, l'attaque y est aussi virulente que dans ses autres oeuvres. On meurt, on assassine, on souffre et on fait souffrir. La langue est dure comme une pierre, vive et sans pitié, se taillant un chemin dans l'inconscient. Pas de mètre qui assouplirait les mots, pas de rime qui relierait les phrases.
Dès le début des années quatre-vingt, Jan Fabre s'est livré dans toutes les facettes de son œuvre à une étude du corps avant que cette pratique ne devienne "à la mode". Sa perception architecturale de l'espace scénique, son attachement à la danse, son interprétation particulière du théâtre comme une œuvre d'art total font de lui un auteur de théâtre unique : à la fois d'une exceptionnelle diversité et d'une rare homogénéité.
Ses pièces souvent des monologues sont plutôt discursives mais il n'y a nul doute, l'attaque y est aussi virulente que dans ses autres oeuvres. On meurt, on assassine, on souffre et on fait souffrir. La langue est dure comme une pierre, vive et sans pitié, se taillant un chemin dans l'inconscient. Pas de mètre qui assouplirait les mots, pas de rime qui relierait les phrases.