Le manuscrit retrouvé

Par : Paulo Coelho
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  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.125 kg
  • Dimensions11,1 cm × 17,9 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-290-25809-5
  • EAN9782290258095
  • Date de parution10/03/2021
  • CollectionJ'ai lu
  • ÉditeurJ'ai lu
  • TraducteurFrançoise Marchand-Sauvagnargues

Résumé

14 juillet 1099. Alors que les croisés sont aux portes de la ville, les habitants de Jérusalem se pressent autour d'un homme mystérieux, connu sous le nom de Copte, pour entendre ses derniers enseignements. La foule, composée de chrétiens, de juifs et de musulmans qui vivaient jusqu'alors en parfaite harmonie, s'apprête à livrer bataille même si la défaite semble inévitable. Mais, loin de toute stratégie guerrière, c'est une leçon de vie qui va leur être dispensée.
14 juillet 1099. Alors que les croisés sont aux portes de la ville, les habitants de Jérusalem se pressent autour d'un homme mystérieux, connu sous le nom de Copte, pour entendre ses derniers enseignements. La foule, composée de chrétiens, de juifs et de musulmans qui vivaient jusqu'alors en parfaite harmonie, s'apprête à livrer bataille même si la défaite semble inévitable. Mais, loin de toute stratégie guerrière, c'est une leçon de vie qui va leur être dispensée.

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3/5
sur 7 notes dont 2 avis lecteurs
A lire ou pas
Paulo Coelho, arrive avec ses livres, à faire aimer la religion à un athée endurci, voir si vous devenez accro à vous précipiter dans la première abbaye pour une semaine de retraite solitaire. Seul problème, ses récits sur la foi et la spiritualité sont très philosophiques, et penchent du côté du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », la réalité est plus dur à avaler. Déjà quelle religion choisir, puisque le même Dieu, mais pas les mêmes doctrines et apôtres. Et puis au nom de Dieu, quel crime n’a-t-on pas commis. Dois-je tous les rappeler ? Mais revenons au livre (je m’égare de plus en plus dans mes billets) donc nous nous retrouvons en l’an 1099 (enfin pour les chrétiens), le 14 juillet plus précisément (et là pas de défilé) et à Jérusalem où un Copte enseigne à un public représentant les 3 religions (juives, chrétiennes, musulmanes), ses sages préceptes, alors qu’aux portes de la ville se prépare la guerre. Mais loin de toute stratégie guerrière, c'est une véritable leçon de vie qui leur est dispensée. Le Manuscrit retrouvé est une invitation à repenser notre humanité qui pose une question d'une brûlante actualité : quelles valeurs subsistent lorsque tout a été détruit ? Pour le 14 juillet, je préfère les bals populaires à l’enseignement philosophique, surtout pour ce que ça sert dans ce monde égoïste. Cher Paulo, malgré que tu sois brésilien (j’ai un faible pour ce pays, ceux qui me connaissent savent pourquoi), malgré que tu écrives très bien, en effet c’est court, alerte, malgré que tes propos pleins de sagesse devraient me faire croire à quelque chose, ben c’est raté, je reste athée et fière de l’être. Ce fut pour moi une lecture temporelle (on revient au bal) qu’elle sera la vôtre
Paulo Coelho, arrive avec ses livres, à faire aimer la religion à un athée endurci, voir si vous devenez accro à vous précipiter dans la première abbaye pour une semaine de retraite solitaire. Seul problème, ses récits sur la foi et la spiritualité sont très philosophiques, et penchent du côté du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », la réalité est plus dur à avaler. Déjà quelle religion choisir, puisque le même Dieu, mais pas les mêmes doctrines et apôtres. Et puis au nom de Dieu, quel crime n’a-t-on pas commis. Dois-je tous les rappeler ? Mais revenons au livre (je m’égare de plus en plus dans mes billets) donc nous nous retrouvons en l’an 1099 (enfin pour les chrétiens), le 14 juillet plus précisément (et là pas de défilé) et à Jérusalem où un Copte enseigne à un public représentant les 3 religions (juives, chrétiennes, musulmanes), ses sages préceptes, alors qu’aux portes de la ville se prépare la guerre. Mais loin de toute stratégie guerrière, c'est une véritable leçon de vie qui leur est dispensée. Le Manuscrit retrouvé est une invitation à repenser notre humanité qui pose une question d'une brûlante actualité : quelles valeurs subsistent lorsque tout a été détruit ? Pour le 14 juillet, je préfère les bals populaires à l’enseignement philosophique, surtout pour ce que ça sert dans ce monde égoïste. Cher Paulo, malgré que tu sois brésilien (j’ai un faible pour ce pays, ceux qui me connaissent savent pourquoi), malgré que tu écrives très bien, en effet c’est court, alerte, malgré que tes propos pleins de sagesse devraient me faire croire à quelque chose, ben c’est raté, je reste athée et fière de l’être. Ce fut pour moi une lecture temporelle (on revient au bal) qu’elle sera la vôtre
  • XIe siècle
"Seul est vaincu celui qui renonce"
Paulo Coelho a su me séduire avec bon nombre de ses romans ( L’alchimiste, Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j’ai pleuré, Le pèlerin de Compostelle, Le zahir, La sorcière de Portobello) parce que j’apprécie que le message primordial de l’auteur soit illustré dans une histoire. Ici, dans Le manuscrit retrouvé, seules les pensées sont édictées par Le copte. Il répond à toutes les questions de valeurs posées par les habitants de Jérusalem à la veille de l’attaque des francs. Devant le juif, le prêtre chrétien et l’imam, les réponses ont une visée universelle et l’Amour donné et reçu est la lumière suprême. Le grand message est effectivement d’aimer, de pardonner, de respecter, de se laisser guider par son intuition. Se laisser émerveiller par la nature, voir chaque chose comme au premier jour, garder son enthousiasme. Toute chose est bonne quand elle est faite avec le cœur. Il me semble que l’on arrive tout de même à une vision très idyllique où nous devons nous réjouir de la solitude, renoncer à la prudence, renier l’injustice du sort et aller combattre la fleur au fusil des ennemis qui n’en sont pas vraiment. Il n’est jamais inutile de lire de tels messages de zénitude pour tenter d’atteindre un peu la paix de l’âme mais dans le monde actuel la réalité nous éloigne souvent de ces préceptes. " La solitude n’est pas l’absence de compagnie, mais le moment où notre âme est libre de converser avec nous et de nous aider à décider de nos vies." " Mieux vaut avoir aimé et perdu que n’avoir jamais aimé." " Recevoir est aussi un acte d’amour." " Mais de quelqu’un qui cherche à te plaire tout le temps, éloigne-toi." Je ne contredis pas la philosophie car il est vrai que l’on se sent bien à regarder une fleur, écouter le chant d’un oiseau, à savoir apprécier les petits miracles de la nature. On peut goûter les moments de solitude pour faire le point, on peut se convaincre que l’échec rend plus fort. Mais la solitude existe en tant que fléau, la misère est plus dure pour certains, et les guerres existeront toujours. L’objectif de Paulo Coelho est louable. Son message est admirable et courageux mais édicté de cette façon, il me semble un peu utopique. Je préfèrerai retrouver le romancier qui sait illustrer sa pensée dans de fantastiques histoires. N’est-ce pas au travers des histoires que les messages sont les plus marquants ? Tout comme Le Manuel du guerrier de la lumière, ce livre peut se relire à l’occasion pour dédramatiser nos petits tracas. " Seul est vaincu celui qui renonce."
Paulo Coelho a su me séduire avec bon nombre de ses romans ( L’alchimiste, Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j’ai pleuré, Le pèlerin de Compostelle, Le zahir, La sorcière de Portobello) parce que j’apprécie que le message primordial de l’auteur soit illustré dans une histoire. Ici, dans Le manuscrit retrouvé, seules les pensées sont édictées par Le copte. Il répond à toutes les questions de valeurs posées par les habitants de Jérusalem à la veille de l’attaque des francs. Devant le juif, le prêtre chrétien et l’imam, les réponses ont une visée universelle et l’Amour donné et reçu est la lumière suprême. Le grand message est effectivement d’aimer, de pardonner, de respecter, de se laisser guider par son intuition. Se laisser émerveiller par la nature, voir chaque chose comme au premier jour, garder son enthousiasme. Toute chose est bonne quand elle est faite avec le cœur. Il me semble que l’on arrive tout de même à une vision très idyllique où nous devons nous réjouir de la solitude, renoncer à la prudence, renier l’injustice du sort et aller combattre la fleur au fusil des ennemis qui n’en sont pas vraiment. Il n’est jamais inutile de lire de tels messages de zénitude pour tenter d’atteindre un peu la paix de l’âme mais dans le monde actuel la réalité nous éloigne souvent de ces préceptes. " La solitude n’est pas l’absence de compagnie, mais le moment où notre âme est libre de converser avec nous et de nous aider à décider de nos vies." " Mieux vaut avoir aimé et perdu que n’avoir jamais aimé." " Recevoir est aussi un acte d’amour." " Mais de quelqu’un qui cherche à te plaire tout le temps, éloigne-toi." Je ne contredis pas la philosophie car il est vrai que l’on se sent bien à regarder une fleur, écouter le chant d’un oiseau, à savoir apprécier les petits miracles de la nature. On peut goûter les moments de solitude pour faire le point, on peut se convaincre que l’échec rend plus fort. Mais la solitude existe en tant que fléau, la misère est plus dure pour certains, et les guerres existeront toujours. L’objectif de Paulo Coelho est louable. Son message est admirable et courageux mais édicté de cette façon, il me semble un peu utopique. Je préfèrerai retrouver le romancier qui sait illustrer sa pensée dans de fantastiques histoires. N’est-ce pas au travers des histoires que les messages sont les plus marquants ? Tout comme Le Manuel du guerrier de la lumière, ce livre peut se relire à l’occasion pour dédramatiser nos petits tracas. " Seul est vaincu celui qui renonce."
  • XIe siècle
  • Jerusalem
  • Le copte
Paulo Coelho
Né le 24 août 1947 à Rio de Janeiro, Paulo Coelho est un romancier, interprète et écrivain. De nationalité brésilienne, il a étudié à l'école de San Ignacio. Par la suite, il fit ses études en droit pour satisfaire ses parents. Un an plus tard, il abandonna les cours de droit pour se lancer dans une autre aventure, celle d'un romancier. En effet, il publie en 1987, son premier roman intitulé " Le pèlerin de Compostelle ". Cet ouvrage connaît un succès mitigé. Cela ne le découragea pas pour autant. Il décide de continuer sur cette voie. En 1988, il publie son deuxième roman : « L'alchimiste ». Ce roman fut un succès mondial avec plus de 165 millions de livres vendus dans le monde. Paulo Coelho devient donc l'un des écrivains les plus célèbres de la planète. Dans ce livre, il raconte l'histoire d'un jeune berger nommé Santiago. Ce dernier part à la recherche d'un trésor enfoui au pied des pyramides. Santiago rencontre un alchimiste dans le désert qui devient un guide pour lui. Parviendra t-il à trouver le trésor ? Après "l'Alchimiste ", Paulo Coelho a écrit de nombreuses œuvres littéraires dont « Aleph ». Publié en 2011, c’est un roman dans lequel Paulo Coelho raconte son voyage de Moscou à Vladivostok. Ce beau voyage dont parle Paulo dans cet ouvrage peut changer toute une existence. Qu’attendez-vous pour le lire ?
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