Paulo Coelho, arrive avec ses livres, à faire aimer la religion à un athée endurci, voir si vous devenez accro à vous précipiter dans la première abbaye pour une semaine de retraite solitaire.
Seul problème, ses récits sur la foi et la spiritualité sont très philosophiques, et penchent du côté du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », la réalité est plus dur à avaler.
Déjà quelle religion choisir, puisque le même Dieu, mais pas les mêmes doctrines et apôtres. Et puis au nom de Dieu, quel crime n’a-t-on pas commis. Dois-je tous les rappeler ?
Mais
revenons au livre (je m’égare de plus en plus dans mes billets) donc nous nous retrouvons en l’an 1099 (enfin pour les chrétiens), le 14 juillet plus précisément (et là pas de défilé) et à Jérusalem où un Copte enseigne à un public représentant les 3 religions (juives, chrétiennes, musulmanes), ses sages préceptes, alors qu’aux portes de la ville se prépare la guerre. Mais loin de toute stratégie guerrière, c'est une véritable leçon de vie qui leur est dispensée. Le Manuscrit retrouvé est une invitation à repenser notre humanité qui pose une question d'une brûlante actualité : quelles valeurs subsistent lorsque tout a été détruit ?
Pour le 14 juillet, je préfère les bals populaires à l’enseignement philosophique, surtout pour ce que ça sert dans ce monde égoïste.
Cher Paulo, malgré que tu sois brésilien (j’ai un faible pour ce pays, ceux qui me connaissent savent pourquoi), malgré que tu écrives très bien, en effet c’est court, alerte, malgré que tes propos pleins de sagesse devraient me faire croire à quelque chose, ben c’est raté, je reste athée et fière de l’être.
Ce fut pour moi une lecture temporelle (on revient au bal) qu’elle sera la vôtre
A lire ou pas
Paulo Coelho, arrive avec ses livres, à faire aimer la religion à un athée endurci, voir si vous devenez accro à vous précipiter dans la première abbaye pour une semaine de retraite solitaire.
Seul problème, ses récits sur la foi et la spiritualité sont très philosophiques, et penchent du côté du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », la réalité est plus dur à avaler.
Déjà quelle religion choisir, puisque le même Dieu, mais pas les mêmes doctrines et apôtres. Et puis au nom de Dieu, quel crime n’a-t-on pas commis. Dois-je tous les rappeler ?
Mais revenons au livre (je m’égare de plus en plus dans mes billets) donc nous nous retrouvons en l’an 1099 (enfin pour les chrétiens), le 14 juillet plus précisément (et là pas de défilé) et à Jérusalem où un Copte enseigne à un public représentant les 3 religions (juives, chrétiennes, musulmanes), ses sages préceptes, alors qu’aux portes de la ville se prépare la guerre. Mais loin de toute stratégie guerrière, c'est une véritable leçon de vie qui leur est dispensée. Le Manuscrit retrouvé est une invitation à repenser notre humanité qui pose une question d'une brûlante actualité : quelles valeurs subsistent lorsque tout a été détruit ?
Pour le 14 juillet, je préfère les bals populaires à l’enseignement philosophique, surtout pour ce que ça sert dans ce monde égoïste.
Cher Paulo, malgré que tu sois brésilien (j’ai un faible pour ce pays, ceux qui me connaissent savent pourquoi), malgré que tu écrives très bien, en effet c’est court, alerte, malgré que tes propos pleins de sagesse devraient me faire croire à quelque chose, ben c’est raté, je reste athée et fière de l’être.
Ce fut pour moi une lecture temporelle (on revient au bal) qu’elle sera la vôtre