Voici un roman qui ne pouvait que m'intéresser. Et pourtant....
Je suis complètement passée à côté de la poésie de l'auteur qui ne fait que parler de dates, ce qui m'apparait inutile.
De la cérémonie du thé en elle-même, Rikyu ne nous parle jamais, préférant s'attarder sur les personnes qui assistaient à ce moment-là à telle cérémonie, et pourquoi c'était important. Uniquement d'un point de vue politique, s'entend.
Certes, Rikyu cherche à savoir pourquoi son maître s'est fait seppuku. Mais sa conclusion est bien fade.
Et puis il passe son temps à se désespérer
du fait que la cérémonie du thé ne sera plus jamais comme avant, en temps de guerre.
Un auteur avec lequel je n'accroche pas, n'ayant pas aimé "Le fusil de chasse".
L'image que je retiendrai :
Une cérémonie du thé doit être simple et saine.
Le maître de thé
On s'ennuie, mais qu'est ce qu'on s'ennuie ! Trop de dates, trop de longueurs qui ne mènent à rien. J'ai essayé de m'accrocher, en vain. Je n'ai pas fini le livre car j'avais vraiment l'impression de perdre du temps.
Inoue aime faire dans la précision, et il est vrai que c'est important des fois de bien cadrer l'époque. Mais là, ce n'est pas le propos. On veut partager une cérémonie du thé, pas savoir en quel jour de quel année de l'ère machin elle se passe.
En un mot : dommage