Le Louvre insolent

Par : Cécile Baron, François Ferrier

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  • Nombre de pages128
  • PrésentationBroché
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions15,6 cm × 20,9 cm × 1,1 cm
  • ISBN979-10-95772-00-2
  • EAN9791095772002
  • Date de parution03/03/2016
  • ÉditeurAnamosa
  • PréfacierJacques-Pierre Amette

Résumé

Grâce à ce parcours buissonnier dans les salles de peinture du Louvre, c'est une autre manière, légère et sans complexe, de découvrir le musée le plus visité au monde et l'histoire de l'art qui est proposée ici. Parce qu'on peut aussi rire au musée ! Un Henri IV au sourire passablement niais bien gainé dans sa tunique d'Hercule, un moine tonsuré du XVe siècle qui vole comme une fusée, une toile de Rubens saturée de putti...
Et pourtant, vous êtes au Louvre, véritable temple de la Culture, or, en lieu et place d'un quelconque sentiment esthétique ou philosophique de rigueur, c'est l'esprit qui divague, qui s'attache à des détails incongrus et le fou rire qui point. Parce que le bon goût est celui que l'on se forge, l'enjeu de ce parcours buissonnier, plaisamment iconoclaste mais surtout iconophile, est de s'autoriser à railler gentiment des peintures parfois loufoques.
Une entrée à la dérobée pour aller à la rencontre, sans complexe et avec légèreté, d'oeuvres, voire de chefs d'oeuvre, parfois méconnus.
Grâce à ce parcours buissonnier dans les salles de peinture du Louvre, c'est une autre manière, légère et sans complexe, de découvrir le musée le plus visité au monde et l'histoire de l'art qui est proposée ici. Parce qu'on peut aussi rire au musée ! Un Henri IV au sourire passablement niais bien gainé dans sa tunique d'Hercule, un moine tonsuré du XVe siècle qui vole comme une fusée, une toile de Rubens saturée de putti...
Et pourtant, vous êtes au Louvre, véritable temple de la Culture, or, en lieu et place d'un quelconque sentiment esthétique ou philosophique de rigueur, c'est l'esprit qui divague, qui s'attache à des détails incongrus et le fou rire qui point. Parce que le bon goût est celui que l'on se forge, l'enjeu de ce parcours buissonnier, plaisamment iconoclaste mais surtout iconophile, est de s'autoriser à railler gentiment des peintures parfois loufoques.
Une entrée à la dérobée pour aller à la rencontre, sans complexe et avec légèreté, d'oeuvres, voire de chefs d'oeuvre, parfois méconnus.