Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les actes du colloque " Le livret d'opéra au temps de Massenet ", qui s'est tenu lors du VIe Festival Massenet en novembre 2001 à L'Esplanade Saint-Étienne-Opéra,...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
En librairie
Résumé
Les actes du colloque " Le livret d'opéra au temps de Massenet ", qui s'est tenu lors du VIe Festival Massenet en novembre 2001 à L'Esplanade Saint-Étienne-Opéra, rassemblent les réflexions de treize chercheurs s'interrogeant sur les conditions d'existence et de transformation du livret d'opéra au temps de Massenet. Depuis Berlioz, qui réfléchit à la pertinence de l'image de l'antiquité virgilienne, revisitée par la poésie de Shakespeare, et s'improvise librettiste de ses Troyens, jusqu'au devenir de Salomé, pièce française d'Oscar Wilde choisie par Strauss comme livret d'un drame musical (Musikdrama), cinquante années de productions dramaturgiques sont abordées dans le foisonnement de leurs diverses directions, de leurs cohérences et de leurs disparités et ramènent le propos soit à Massenet soit à d'autres compositeurs comme Ernest Chausson ou Reynaldo Hahn. Car si l'auteur de Werther perpétue certaines traditions de l'opéra français tout en contribuant à le transformer, la production lyrique française de cette époque témoigne, d'une façon plus générale, d'un éclatement des formes et des sujets, marqué entre autres par l'avènement presque conjoint du Naturalisme et du Symbolisme sur la scène de l'opéra où continuent d'évoluer drames exotiques, mythologiques ou historiques. L'attitude des musicologues penchés sur les archives des compositeurs ou sur l'histoire des genres musicaux, des institutions musicales et de leurs avatars, des réactions de la presse puis le regard des spécialistes des études littéraires, surtout attentifs au tracé d'une volonté discursive poétique ou épique comme à la vigueur versifiée ou en prose du verbe se croisent donc ici et se renvoient des analyses plaçant tour à tour la musique comme prioritaire dans le rendu expressif, puis le livret comme vecteur d'une rivalité avec la musique.