Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Al-Jâhiz (776-869) réussit le tour de force de marier la culture antique héritée des Grecs avec celle qui se développe à l'ombre des califes. Installé...
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Résumé
Al-Jâhiz (776-869) réussit le tour de force de marier la culture antique héritée des Grecs avec celle qui se développe à l'ombre des califes. Installé à Bagdad, il rédige d'amples volumes sur les animaux, les avares, l'essence de Dieu. Mais il compose aussi de merveilleux petits traités où s'affrontent deux thèmes : faut-il préférer le rond au carré, l'hiver à l'été, les courtisanes aux épouses... ou les garçons aux filles ? Cette discussion était devenue un exercice d'école. Jâhiz s'est probablement inspiré d'un antique traité, comme ces Amours du Pseudo-Lucien de Samosate données ici. Le même argument se retrouve dans Alcibiade enfant à l'école. Foucault, qui aborde ces thèmes dans son Histoire de la sexualité, aurait-il apprécié ce petit récit où l'on voit un écolier entrepris par son précepteur ? Mais désormais, on ne renverse même plus la jouvencelle pour la prendre comme un jouvenceau, car la femme a disparu de l'univers d'Antonio Rocco, farouche libertin vénitien, l'auteur de ce sulfureux Alcibiade.