Le livre de la route vers l'est

Par : Clément Heinisch

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-38431-444-7
  • EAN9782384314447
  • Date de parution23/08/2024
  • Éditeurmot et le reste (Le)

Résumé

Clément Heinisch avait 21 ans quand à l'été 1998, ils sont partis avec son ami Jacques dans l'objectif d'aller jusqu'en Asie Centrale, admirer en particulier les merveilles de Boukhara et Samarcande. Voyageant le plus légèrement possible et le plus souvent en auto-stop, ils ont traversé la France puis l'Italie pour rejoindre le Nord de la Grèce en ferry, rouler jusqu'à Istanbul et aboutir à Van, non loin de l'Iran, avant de rebrousser chemin.
Le Livre de la route vers l'Est raconte leurs aventures narrées dans un style comique de bonimenteur. Le lecteur suit ainsi deux jeunes hommes enthousiastes et avides de rencontres, qui passent de surprises en déconvenues avec une certaine grâce. Mais ce récit s'avère être aussi la célébration d'un mode de voyage : l'auto-stop, élevé ici au rang d'art de vivre.
Clément Heinisch avait 21 ans quand à l'été 1998, ils sont partis avec son ami Jacques dans l'objectif d'aller jusqu'en Asie Centrale, admirer en particulier les merveilles de Boukhara et Samarcande. Voyageant le plus légèrement possible et le plus souvent en auto-stop, ils ont traversé la France puis l'Italie pour rejoindre le Nord de la Grèce en ferry, rouler jusqu'à Istanbul et aboutir à Van, non loin de l'Iran, avant de rebrousser chemin.
Le Livre de la route vers l'Est raconte leurs aventures narrées dans un style comique de bonimenteur. Le lecteur suit ainsi deux jeunes hommes enthousiastes et avides de rencontres, qui passent de surprises en déconvenues avec une certaine grâce. Mais ce récit s'avère être aussi la célébration d'un mode de voyage : l'auto-stop, élevé ici au rang d'art de vivre.