Le journaliste béluga. Les reporters face à l'extinction
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- Nombre de pages199
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.275 kg
- Dimensions14,1 cm × 21,7 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-7609-1238-0
- EAN9782760912380
- Date de parution15/10/2020
- ÉditeurLeméac (Editeur)
Résumé
Nous, journalistes, sommes les prolétaires de la société du savoir. Nous n'avons pas, comme les chercheurs scientifiques, écrivains et grands intellectuels, à produire de la connaissance. Nous n'avons qu'à la transférer. Les journalistes forment-ils une espèce en voie de disparition ? Si c'est le cas, que risque-t-on en les perdant ? C'est la question qui sous-tend cet état des lieux du journalisme à l'ère d'Internet et des réseaux sociaux, des fake news et de la précarité.
En définissant les termes, en rectifiant les faits, en ne ménageant pas ses critiques à l'endroit d'un métier souvent entraîné vers le vedettariat par les exigences du marché, Mathieu-Robert Sauvé illustre parfaitement le vieil adage selon lequel "qui aime bien châtie bien".
En définissant les termes, en rectifiant les faits, en ne ménageant pas ses critiques à l'endroit d'un métier souvent entraîné vers le vedettariat par les exigences du marché, Mathieu-Robert Sauvé illustre parfaitement le vieil adage selon lequel "qui aime bien châtie bien".
Nous, journalistes, sommes les prolétaires de la société du savoir. Nous n'avons pas, comme les chercheurs scientifiques, écrivains et grands intellectuels, à produire de la connaissance. Nous n'avons qu'à la transférer. Les journalistes forment-ils une espèce en voie de disparition ? Si c'est le cas, que risque-t-on en les perdant ? C'est la question qui sous-tend cet état des lieux du journalisme à l'ère d'Internet et des réseaux sociaux, des fake news et de la précarité.
En définissant les termes, en rectifiant les faits, en ne ménageant pas ses critiques à l'endroit d'un métier souvent entraîné vers le vedettariat par les exigences du marché, Mathieu-Robert Sauvé illustre parfaitement le vieil adage selon lequel "qui aime bien châtie bien".
En définissant les termes, en rectifiant les faits, en ne ménageant pas ses critiques à l'endroit d'un métier souvent entraîné vers le vedettariat par les exigences du marché, Mathieu-Robert Sauvé illustre parfaitement le vieil adage selon lequel "qui aime bien châtie bien".