Le jeu des sciences avec Heidegger et Derrida. Volume 2, La phénoménologie reformulée, en vérité

Par : Fernando Belo

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages664
  • PrésentationBroché
  • Poids1.085 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 4,0 cm
  • ISBN978-2-296-03640-6
  • EAN9782296036406
  • Date de parution01/10/2007
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le jeu, c'est l'unité du hasard et de la nécessité (Derrida). Soit l'exemple d'une voiture : ses règles sont étudiées au laboratoire pour jouer dans une scène aléatoire de circulation, sous la loi du trafic. De même chez les vivants qui, en plus, sont engendrés et nourris les uns par les autres : c'est leur scène de circulation, sous la loi de la jungle. Leur autonomie (programme génétique) et celle des unités sociales humaines (apprentissage, langage) leur sont données par d'autres vivants restés en retrait. Hors du dualisme sujet/objet, la composition de philosophie avec sciences rend possible d'affirmer : détermination sans déterminisme, réduction sans réductionnisme, relativité (car tout est historique) sans relativisme. D'affirmer donc la vérité phénoménologique des découvertes scientifiques majeures, le champ des sciences étant unifié et articulé : le but de la phénoménologie de Husserl s'accomplit, autrement qu'il l'avait prévu. Dès lors, on pourra repenser l'interdisciplinarité, peut-être aussi la pédagogie.
Le jeu, c'est l'unité du hasard et de la nécessité (Derrida). Soit l'exemple d'une voiture : ses règles sont étudiées au laboratoire pour jouer dans une scène aléatoire de circulation, sous la loi du trafic. De même chez les vivants qui, en plus, sont engendrés et nourris les uns par les autres : c'est leur scène de circulation, sous la loi de la jungle. Leur autonomie (programme génétique) et celle des unités sociales humaines (apprentissage, langage) leur sont données par d'autres vivants restés en retrait. Hors du dualisme sujet/objet, la composition de philosophie avec sciences rend possible d'affirmer : détermination sans déterminisme, réduction sans réductionnisme, relativité (car tout est historique) sans relativisme. D'affirmer donc la vérité phénoménologique des découvertes scientifiques majeures, le champ des sciences étant unifié et articulé : le but de la phénoménologie de Husserl s'accomplit, autrement qu'il l'avait prévu. Dès lors, on pourra repenser l'interdisciplinarité, peut-être aussi la pédagogie.