En 1937, les bombes pleuvent sur l’Espagne, la tension enfle en Allemagne, et l’Angleterre regarde d’un air concerné, l’innocence de l’été et sa langueur rattrapant bientôt l’inquiétude, au moins pour un temps. C’est cette ambivalence que relate Karel Schoeman, imprégnant ses pages d’une douceur anglaise sensorielle perçue par un étranger, comme voilée par la distance (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/08/02/le-jardin-celeste-karel-schoeman/)
En 1937, les bombes pleuvent sur l’Espagne, la tension enfle en Allemagne, et l’Angleterre regarde d’un air concerné, l’innocence de l’été et sa langueur rattrapant bientôt l’inquiétude, au moins pour un temps. C’est cette ambivalence que relate Karel Schoeman, imprégnant ses pages d’une douceur anglaise sensorielle perçue par un étranger, comme voilée par la distance (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/08/02/le-jardin-celeste-karel-schoeman/)