Le huis clos judiciaire au cinéma

Par : Agnès de Luget, Magalie Flores-Lonjou
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  • Nombre de pages188
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-84561-698-1
  • EAN9782845616981
  • Date de parution01/03/2010
  • ÉditeurLa Geste

Résumé

Le huis clos judiciaire au cinéma : un défi cinématographique. Le procès pénal objet cinématographique par excellence. Le droit, au coeur de nos sociétés, constitue un matériau singulier - élément constitutif de ses dernières en même temps qu'insaisissable - que le cinéma peut ignorer ou dont il s'empare avec bonheur. Ainsi, le 7e art va investir le plus topique des matériaux juridiques : le procès et tout particulièrement le procès pénal.
Par nature le procès pénal comporte trois caractéristiques photogéniques essentielles : pathos, rebondissements et affects. Le huis clos judiciaire objet cinématographique paradoxal. Le huis clos judiciaire - au coeur du procès pénal - constitue un matériau paradoxal : supposé, évoqué, reconstruit il ne peut être filmé ; dit il ne peut être vu ; montré, il ne peut qu'être refonde. Le huis clos judiciaire n'est-il pas alors l'expression même de la complexité de la démarche cinématographique ?
Le huis clos judiciaire au cinéma : un défi cinématographique. Le procès pénal objet cinématographique par excellence. Le droit, au coeur de nos sociétés, constitue un matériau singulier - élément constitutif de ses dernières en même temps qu'insaisissable - que le cinéma peut ignorer ou dont il s'empare avec bonheur. Ainsi, le 7e art va investir le plus topique des matériaux juridiques : le procès et tout particulièrement le procès pénal.
Par nature le procès pénal comporte trois caractéristiques photogéniques essentielles : pathos, rebondissements et affects. Le huis clos judiciaire objet cinématographique paradoxal. Le huis clos judiciaire - au coeur du procès pénal - constitue un matériau paradoxal : supposé, évoqué, reconstruit il ne peut être filmé ; dit il ne peut être vu ; montré, il ne peut qu'être refonde. Le huis clos judiciaire n'est-il pas alors l'expression même de la complexité de la démarche cinématographique ?