Le Greco éternel

Par : Philippe Merlo-Morat, Virginie Giuliana
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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.392 kg
  • Dimensions20,8 cm × 20,9 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-86272-732-5
  • EAN9782862727325
  • Date de parution21/01/2021
  • CollectionVilla Hispanica
  • ÉditeurGRIMH

Résumé

Doménikos Theotokópoulos, dit Le Greco (1541-1614), peintre crétois établi en Espagne en 1576, a longtemps été un artiste controversé, autour duquel un mystère s'est forgé. Il apprend des plus grands comme le Titien, Véronèse ou Tintoret. Son art est incomparable : peintures religieuses, figures gigantesques et allongées, héritées du maniérisme, couleurs éclatantes, compositions complexes et déséquilibrées pour l'époque.
Le Greco est témoin de son temps : Concile de Trente, construction du Palais-Monastère de l'Escorial, et règne de Philippe II. En 1908, c'est en ces termes que Manuel B. Cossío définit son style : "Synthèse parfaite de l'orientalisme et de l'occidentalisme ; héritage de la pure expression spirituelle, de l'intimisme et des canons byzantins ; [... ] la dignité, l'acrimonie, l'exaltation, le mysticisme castillans.
Son art restera comme l'effort le plus brillant et le plus abouti pour transmettre à la toile la dynamique pure, la frénésie spirituelle, le mouvement". Huit spécialistes de la peinture espagnole, universitaires français et espagnols, se penchent sur l'oeuvre de ce peintre à travers trois approches : cadre esthétique et contexte historique ; analyses d'oeuvres autour de la technique, des couleurs et des perspectives, ou encore motifs picturaux (Vierge, Véroniques, Annonciation) ; études des relations inter-artistiques et transdisciplinaires (le Greco dans la poésie) mais aussi la projection de son oeuvre à travers les siècles, sa réinterprétation dans l'art contemporain.
Doménikos Theotokópoulos, dit Le Greco (1541-1614), peintre crétois établi en Espagne en 1576, a longtemps été un artiste controversé, autour duquel un mystère s'est forgé. Il apprend des plus grands comme le Titien, Véronèse ou Tintoret. Son art est incomparable : peintures religieuses, figures gigantesques et allongées, héritées du maniérisme, couleurs éclatantes, compositions complexes et déséquilibrées pour l'époque.
Le Greco est témoin de son temps : Concile de Trente, construction du Palais-Monastère de l'Escorial, et règne de Philippe II. En 1908, c'est en ces termes que Manuel B. Cossío définit son style : "Synthèse parfaite de l'orientalisme et de l'occidentalisme ; héritage de la pure expression spirituelle, de l'intimisme et des canons byzantins ; [... ] la dignité, l'acrimonie, l'exaltation, le mysticisme castillans.
Son art restera comme l'effort le plus brillant et le plus abouti pour transmettre à la toile la dynamique pure, la frénésie spirituelle, le mouvement". Huit spécialistes de la peinture espagnole, universitaires français et espagnols, se penchent sur l'oeuvre de ce peintre à travers trois approches : cadre esthétique et contexte historique ; analyses d'oeuvres autour de la technique, des couleurs et des perspectives, ou encore motifs picturaux (Vierge, Véroniques, Annonciation) ; études des relations inter-artistiques et transdisciplinaires (le Greco dans la poésie) mais aussi la projection de son oeuvre à travers les siècles, sa réinterprétation dans l'art contemporain.