Le gouvernement des divas
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- Nombre de pages235
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.31 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-915384-23-9
- EAN9782915384239
- Date de parution15/09/2015
- ÉditeurCenton
Résumé
Très vite dans ce roman, nous quittons l'univers confiné de l'opéra : le luxe, des divas adulées et capricieuses offrant leur voix à un public de privilégiés. Edwina, dite Madame, décide, après avoir chanté le Panis Angelicus, de ne chanter que pour Dieu et d'en finir avec la starification : un premier pas pour révéler la vérité profonde de l'opéra et du chant lyrique c'est à dire unir les âmes. Ce premier pas, elle le fait en disparaissant, laissant ses amies, madame Solti, Yukiko, Irina, chanteuses lyriques comme elles, désemparées mais bien décidées à la retrouver et à lui rester fidèles.
Portées par sa « voix », celles-ci vont faire le second pas, en initiant le gouvernement des divas : harmoniser l'humanité par l'émotion du chant et se produire dans des lieux souvent improbables ou impensables. Aidées par le président des États-Unis, elles vont, par ces concerts, donner au monde un visage plus spirituel. Rejointes à la fin par Madame, définitivement réapparue, elles se retrouvent à Ramallah pour un ultime concert de la paix, concert qui fait fortement résonner une question : que faire de cette violence qui demeure insensible au Panis Angelicus ?
Portées par sa « voix », celles-ci vont faire le second pas, en initiant le gouvernement des divas : harmoniser l'humanité par l'émotion du chant et se produire dans des lieux souvent improbables ou impensables. Aidées par le président des États-Unis, elles vont, par ces concerts, donner au monde un visage plus spirituel. Rejointes à la fin par Madame, définitivement réapparue, elles se retrouvent à Ramallah pour un ultime concert de la paix, concert qui fait fortement résonner une question : que faire de cette violence qui demeure insensible au Panis Angelicus ?
Très vite dans ce roman, nous quittons l'univers confiné de l'opéra : le luxe, des divas adulées et capricieuses offrant leur voix à un public de privilégiés. Edwina, dite Madame, décide, après avoir chanté le Panis Angelicus, de ne chanter que pour Dieu et d'en finir avec la starification : un premier pas pour révéler la vérité profonde de l'opéra et du chant lyrique c'est à dire unir les âmes. Ce premier pas, elle le fait en disparaissant, laissant ses amies, madame Solti, Yukiko, Irina, chanteuses lyriques comme elles, désemparées mais bien décidées à la retrouver et à lui rester fidèles.
Portées par sa « voix », celles-ci vont faire le second pas, en initiant le gouvernement des divas : harmoniser l'humanité par l'émotion du chant et se produire dans des lieux souvent improbables ou impensables. Aidées par le président des États-Unis, elles vont, par ces concerts, donner au monde un visage plus spirituel. Rejointes à la fin par Madame, définitivement réapparue, elles se retrouvent à Ramallah pour un ultime concert de la paix, concert qui fait fortement résonner une question : que faire de cette violence qui demeure insensible au Panis Angelicus ?
Portées par sa « voix », celles-ci vont faire le second pas, en initiant le gouvernement des divas : harmoniser l'humanité par l'émotion du chant et se produire dans des lieux souvent improbables ou impensables. Aidées par le président des États-Unis, elles vont, par ces concerts, donner au monde un visage plus spirituel. Rejointes à la fin par Madame, définitivement réapparue, elles se retrouvent à Ramallah pour un ultime concert de la paix, concert qui fait fortement résonner une question : que faire de cette violence qui demeure insensible au Panis Angelicus ?