Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Réédition aux Requins Marteaux du livre Le Goût du paradis, le premier livre de Nine Antico chez Ego comme X . Sélectionné pour le prix du meilleur...
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Résumé
Réédition aux Requins Marteaux du livre Le Goût du paradis, le premier livre de Nine Antico chez Ego comme X . Sélectionné pour le prix du meilleur premier album à Angoulême en 2009. L’Ouvrage pourrait se lire comme une version moderne des Mémoires d’une jeune fille rangée, transposées dans une banlieue du 93. Comment trouver sa place quand on est une gentille fille à papa, blanche de surcroît, tiraillée entre sa bonne éducation et une fascination voluptueuse pour les petits caïds de la cité ? Il y a d’abord la petite fille qui se rêve en femme et « fait la drague contre l’arbre » de la cour d’école. Puis, vient l’adolescente qui s’ennuie ferme le dimanche en famille, préoccupée par les garçons, la boom de Soizic et les moyens pour gagner l’amitié de Nanou, la fille charismatique du lycée. C’est tout une époque, celle des années 90, qui jaillit de cette joyeuse effervescence de culture populaire et urbaine, où sont convoqués, pêle-mêle, le tiercé de Guy Lux, Hélène et les garçons, Barbie, les dimanches de Jacques Martin, Carlos et Rondo Véneziano… Nine Antico nous charme par une écriture inventive et un sens aigu de la saynète, percutante et souvent hilarante. Son dessin tout en rondeurs et arabesques, qui évoque plus qu’il ne fige, trouve sa singularité dans la parfaite synthèse entre le rétro de la belle époque, l’art urbain des tags, le psychédélisme des seventies et la sensualité onirique d’un Guido Crepax.