Le goût de la main dans l'Oeuvre-Valéry. (Etudes et essais)

Par : Jean-Philippe Biehler

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  • Nombre de pages222
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.271 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-343-12658-6
  • EAN9782343126586
  • Date de parution01/07/2017
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierWilliam Marx

Résumé

Il sera question de l'idée de la main dans " l'Oeuvre-Valéry", mais aussi, nommément, en hommage, de Madame Nicole Celeyrette-Piétri. Beaucoup la connaissent, peut-être seulement de nom, ou pour l'avoir entendue, écoutée ou lue, d'autres encore pour l'avoir personnellement rencontrée, et parmi tous ceux-ci et ceux-là, beaucoup la connaissent et reconnaissent pour l'abondance de ses qualités et la finesse de ses analyses.
Elle a été et restera de toute façon l'une des principales figures et animatrices de la scène valéryenne pendant plus de quarante ans. Mais surtout, avec ferveur et passion, elle a été la principale inspiratrice, à la fois initiatrice et continuatrice, de l'Edition intégrale des Cahiers 1894-1914 de Paul Valéry. Et moi-même, qui suis-je ? Puisque je propose dans l'essai qui suit quelques courtes scènettes dialoguées.
Qui suis-je ? Je ne sais pas bien. Il y a tellement de différences et d'identités. Mais si j'en résume une part, je dirais que je suis un lecteur passionné de Paul Valéry, que j'ai par ailleurs écrit quatre livres le concernant de près (Tête-à-tête 1, 2, et 3, et Héraclite et Valéry). Je pense que cela pourrait être suffisant pour m'introduire d'ici à là, et laisser libre cours à ces sortes de panneaux coulissants, (d)écrits, pistes, réflexions, questions et réponses, qui souhaiteraient non pas combler, certes, mais du moins nuancer une lacune dans l'extraordinaire richesse des Commentaires Valéryens existants.
Un essai donc, peut-être plus perspectiviste, plus varié, en ce sens plus complet, quoique évidemment insuffisant, sur l'idée, ou plus précisément le (re)traitement de l'idée de la "main" dans l'Oeuvre-Valéry.
Il sera question de l'idée de la main dans " l'Oeuvre-Valéry", mais aussi, nommément, en hommage, de Madame Nicole Celeyrette-Piétri. Beaucoup la connaissent, peut-être seulement de nom, ou pour l'avoir entendue, écoutée ou lue, d'autres encore pour l'avoir personnellement rencontrée, et parmi tous ceux-ci et ceux-là, beaucoup la connaissent et reconnaissent pour l'abondance de ses qualités et la finesse de ses analyses.
Elle a été et restera de toute façon l'une des principales figures et animatrices de la scène valéryenne pendant plus de quarante ans. Mais surtout, avec ferveur et passion, elle a été la principale inspiratrice, à la fois initiatrice et continuatrice, de l'Edition intégrale des Cahiers 1894-1914 de Paul Valéry. Et moi-même, qui suis-je ? Puisque je propose dans l'essai qui suit quelques courtes scènettes dialoguées.
Qui suis-je ? Je ne sais pas bien. Il y a tellement de différences et d'identités. Mais si j'en résume une part, je dirais que je suis un lecteur passionné de Paul Valéry, que j'ai par ailleurs écrit quatre livres le concernant de près (Tête-à-tête 1, 2, et 3, et Héraclite et Valéry). Je pense que cela pourrait être suffisant pour m'introduire d'ici à là, et laisser libre cours à ces sortes de panneaux coulissants, (d)écrits, pistes, réflexions, questions et réponses, qui souhaiteraient non pas combler, certes, mais du moins nuancer une lacune dans l'extraordinaire richesse des Commentaires Valéryens existants.
Un essai donc, peut-être plus perspectiviste, plus varié, en ce sens plus complet, quoique évidemment insuffisant, sur l'idée, ou plus précisément le (re)traitement de l'idée de la "main" dans l'Oeuvre-Valéry.