Je n'ai pas la prétention d'être un grand cycliste mais il me semble que j'ai depuis toujours parcouru sentes et routes de ces paysages que j'aime tant. Je me souviens du jour où j'ai senti que ces collines gasconnes m'acceptaient, ce fut au détour d'un virage, le visage noyé de sueur, le corps perclus de crampes, lorsqu'un léger zéphir me fit lever la tête. J'eus, ce jour-là, le plus beau des cadeaux.
Je me suis senti intégré en ces lieux et non plus un étranger de passage. A partir de ce moment-là, je levais la tête de mon guidon pour savourer tous les cadeaux du voyage, les fleurs, le vol d'un oiseau, le cri rare d'une alouette ou le chant des clarines. Dessin et aquarelle furent pour moi le moyen de fixer ces moments privilégiés tellement fugaces. Pour Gérard de Nerval "On voyage pour vérifier ses rêves" .
Quelle plus belle image. Alors en route !
Je n'ai pas la prétention d'être un grand cycliste mais il me semble que j'ai depuis toujours parcouru sentes et routes de ces paysages que j'aime tant. Je me souviens du jour où j'ai senti que ces collines gasconnes m'acceptaient, ce fut au détour d'un virage, le visage noyé de sueur, le corps perclus de crampes, lorsqu'un léger zéphir me fit lever la tête. J'eus, ce jour-là, le plus beau des cadeaux.
Je me suis senti intégré en ces lieux et non plus un étranger de passage. A partir de ce moment-là, je levais la tête de mon guidon pour savourer tous les cadeaux du voyage, les fleurs, le vol d'un oiseau, le cri rare d'une alouette ou le chant des clarines. Dessin et aquarelle furent pour moi le moyen de fixer ces moments privilégiés tellement fugaces. Pour Gérard de Nerval "On voyage pour vérifier ses rêves" .
Quelle plus belle image. Alors en route !