Le genre idéal. En principe, une tentative d'épuisement

Par : Nicolas Surlapierre, Olivier Bonfait, Anaïs Linares, Margaut Segui, Yuan-Chih Cheng
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  • Nombre de pages248
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.594 kg
  • Dimensions17,2 cm × 20,9 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-900450-21-5
  • EAN9782900450215
  • Date de parution04/04/2025
  • ÉditeurMAC/VAL

Résumé

Les 20 ans du MAC VAL représentent l'occasion de confirmer la qualité d'une collection unique, l'expression d'un musée renouvelé et ouvert sur l'avenir. Ce nouvel accrochage est le résultat d'un commissariat partagé avec l'ensemble des équipes du musée, au fil d'un parcours consacré à la hiérarchie des genres. En 1667, l'historien de l'art André Félibien posait la hiérarchie des genres dans la préface de ses Conférences de l'Académie Royale de peinture et de sculpture, instruisant les préceptes qui régiront la peinture académique et instaurant l'idée de genres nobles et de sous-genres où le sujet prime sur la maîtrise technique ou la facture.
Le parcours "Le genre idéal. En principe, une tentative d'épuisement" aborde avec espièglerie chacun des cinq genres de cette hiérarchie : la peinture d'histoire, le portrait, la scène de genre, le paysage et la nature morte. L'exposition témoigne en ce sens de la survivance inconsciente de cette classification en art contemporain et déploie, tous médiums confondus, un large ensemble de dessins, de photographies, de peintures, de sculptures et d'installations mixtes.
Afin de prendre le contre-pied de la classification telle que formulée par Félibien, l'exposition débute par le genre considéré comme "mineur", la nature morte, et se conclut par le "grand genre" , la peinture d'histoire, effaçant ainsi toute notion de hiérarchie de genre, majeur ou mineur, primaire ou secondaire, noble ou trivial. Chaque expression devient un art éternel d'autrefois, de maintenant et d'après.
Les travaux d'artistes des années 1950 à 2025 se côtoient pour rendre compte de l'évolution des représentations. Chaque genre est alors transfiguré par des enjeux contemporains à travers une déclinaison où la nature morte devient "les biens", le paysage "les saisons", la scène de genre "les gestes", le portrait "les gens" et la peinture d'histoire "les heures". Une tentative donc de classer, à la manière "félibienne", les oeuvres issues de la collection du MAC VAL, qui se transforme en une "tentative d'épuisement", hommage à celle initiée par l'écrivain Georges Perec.
Les 20 ans du MAC VAL représentent l'occasion de confirmer la qualité d'une collection unique, l'expression d'un musée renouvelé et ouvert sur l'avenir. Ce nouvel accrochage est le résultat d'un commissariat partagé avec l'ensemble des équipes du musée, au fil d'un parcours consacré à la hiérarchie des genres. En 1667, l'historien de l'art André Félibien posait la hiérarchie des genres dans la préface de ses Conférences de l'Académie Royale de peinture et de sculpture, instruisant les préceptes qui régiront la peinture académique et instaurant l'idée de genres nobles et de sous-genres où le sujet prime sur la maîtrise technique ou la facture.
Le parcours "Le genre idéal. En principe, une tentative d'épuisement" aborde avec espièglerie chacun des cinq genres de cette hiérarchie : la peinture d'histoire, le portrait, la scène de genre, le paysage et la nature morte. L'exposition témoigne en ce sens de la survivance inconsciente de cette classification en art contemporain et déploie, tous médiums confondus, un large ensemble de dessins, de photographies, de peintures, de sculptures et d'installations mixtes.
Afin de prendre le contre-pied de la classification telle que formulée par Félibien, l'exposition débute par le genre considéré comme "mineur", la nature morte, et se conclut par le "grand genre" , la peinture d'histoire, effaçant ainsi toute notion de hiérarchie de genre, majeur ou mineur, primaire ou secondaire, noble ou trivial. Chaque expression devient un art éternel d'autrefois, de maintenant et d'après.
Les travaux d'artistes des années 1950 à 2025 se côtoient pour rendre compte de l'évolution des représentations. Chaque genre est alors transfiguré par des enjeux contemporains à travers une déclinaison où la nature morte devient "les biens", le paysage "les saisons", la scène de genre "les gestes", le portrait "les gens" et la peinture d'histoire "les heures". Une tentative donc de classer, à la manière "félibienne", les oeuvres issues de la collection du MAC VAL, qui se transforme en une "tentative d'épuisement", hommage à celle initiée par l'écrivain Georges Perec.
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