Le Génie de la liberté
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.23 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-02-012078-X
- EAN9782020120784
- Date de parution01/12/1990
- CollectionL'épreuve des faits
- ÉditeurSeuil
Résumé
Ce n'est pas une fin mais un début de siècle que nous vivons. Le XXe siècle n'a duré que 75 ans : inauguré en 1914, il s'est achevé en 1989, et nous ne le regretterons pas. Le propos de l'auteur, dans cet essai incisif, n'est pas seulement de dresser un bilan, bien qu'il jette un regard caustique sur les prédictions évanouies de maints intellectuels et la vertigineuse stérilité des formations politiques.
Il s'agit d'abord de comprendre l'événement : un espoir nouveau, un territoire soudain rendu disponible par le " génie de la liberté ". Le communisme est mort et, avec lui, toute une représentation de la gauche, de l'action, de l'éthique, de l'avenir. Ouf ! Mais il ne suffit pas de célébrer la revanche de Léon Blum. Il faut faire du neuf. Il faut faire du neuf avec du neuf, refonder un modernisme de gauche.
Le communisme est mort. C'est le moment ou jamais d'entamer une vraie critique du capitalisme. Librement. Enfin.
Il s'agit d'abord de comprendre l'événement : un espoir nouveau, un territoire soudain rendu disponible par le " génie de la liberté ". Le communisme est mort et, avec lui, toute une représentation de la gauche, de l'action, de l'éthique, de l'avenir. Ouf ! Mais il ne suffit pas de célébrer la revanche de Léon Blum. Il faut faire du neuf. Il faut faire du neuf avec du neuf, refonder un modernisme de gauche.
Le communisme est mort. C'est le moment ou jamais d'entamer une vraie critique du capitalisme. Librement. Enfin.
Ce n'est pas une fin mais un début de siècle que nous vivons. Le XXe siècle n'a duré que 75 ans : inauguré en 1914, il s'est achevé en 1989, et nous ne le regretterons pas. Le propos de l'auteur, dans cet essai incisif, n'est pas seulement de dresser un bilan, bien qu'il jette un regard caustique sur les prédictions évanouies de maints intellectuels et la vertigineuse stérilité des formations politiques.
Il s'agit d'abord de comprendre l'événement : un espoir nouveau, un territoire soudain rendu disponible par le " génie de la liberté ". Le communisme est mort et, avec lui, toute une représentation de la gauche, de l'action, de l'éthique, de l'avenir. Ouf ! Mais il ne suffit pas de célébrer la revanche de Léon Blum. Il faut faire du neuf. Il faut faire du neuf avec du neuf, refonder un modernisme de gauche.
Le communisme est mort. C'est le moment ou jamais d'entamer une vraie critique du capitalisme. Librement. Enfin.
Il s'agit d'abord de comprendre l'événement : un espoir nouveau, un territoire soudain rendu disponible par le " génie de la liberté ". Le communisme est mort et, avec lui, toute une représentation de la gauche, de l'action, de l'éthique, de l'avenir. Ouf ! Mais il ne suffit pas de célébrer la revanche de Léon Blum. Il faut faire du neuf. Il faut faire du neuf avec du neuf, refonder un modernisme de gauche.
Le communisme est mort. C'est le moment ou jamais d'entamer une vraie critique du capitalisme. Librement. Enfin.