Le gène généreux. Pour un darwinisme coopératif

Par : Joan Roughgarden

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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • Poids0.425 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-02-106036-2
  • EAN9782021060362
  • Date de parution20/09/2012
  • CollectionScience ouverte
  • ÉditeurSeuil
  • TraducteurThierry Hoquet

Résumé

Dans la théorie néo-darwinienne classique, le mâle doit conquérir et la femelle peut choisir. La théorie de la « sélection sexuelle » a été appliquée à l’espèce humaine par la psychologie évolutionniste comme justification du viol, de l’infidélité ou de la pornographie. Roughgarden rejette cette théorie à partir des faits. Il existe, par exemple, des espèces dites « à inversion des rôles sexuels », où c’est la femelle qui est combative, colorée, et le mâle qui s’occupe des soins aux petits.
On compte en outre chez les animaux des comportements homosexuels, des individus transgenres, et des espèces où cohabitent plus de deux « genres ». Toutes les explications en termes de sélection sexuelle s’inspirent également du paradigme du « gène égoïste » (Dawkins) où dans la nature tout n’est que conflit, égoïsme, profit. Mais Roughgarden propose une alternative qu’elle appelle « sélection sociale », mettant en avant le travail d’équipe et la coopération entre les partenaires.
Dans la théorie néo-darwinienne classique, le mâle doit conquérir et la femelle peut choisir. La théorie de la « sélection sexuelle » a été appliquée à l’espèce humaine par la psychologie évolutionniste comme justification du viol, de l’infidélité ou de la pornographie. Roughgarden rejette cette théorie à partir des faits. Il existe, par exemple, des espèces dites « à inversion des rôles sexuels », où c’est la femelle qui est combative, colorée, et le mâle qui s’occupe des soins aux petits.
On compte en outre chez les animaux des comportements homosexuels, des individus transgenres, et des espèces où cohabitent plus de deux « genres ». Toutes les explications en termes de sélection sexuelle s’inspirent également du paradigme du « gène égoïste » (Dawkins) où dans la nature tout n’est que conflit, égoïsme, profit. Mais Roughgarden propose une alternative qu’elle appelle « sélection sociale », mettant en avant le travail d’équipe et la coopération entre les partenaires.