Le gai savoir de Nietzsche. Une manière divine de penser
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- Nombre de pages394
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.568 kg
- Dimensions15,1 cm × 23,1 cm × 3,1 cm
- ISBN978-2-271-08940-3
- EAN9782271089403
- Date de parution15/03/2018
- ÉditeurCNRS
Résumé
1882. Nietzsche publie Le Gai savoir, un texte joyeux, ironique. Après Choses humaines, trop humaines et Aurore, c'est l'oeuvre d'un convalescent qui retrouve toutes ses forces. Il suffit de lire le titre du prologue : "Plaisanterie, ruse et vengeance", ou celui de l'appendice : "Chanson du prince Hors-la-loi". C'est dans ce livre de la maturité que sont "lancées" la mort de Dieu (aphorisme 125) et l'éternel retour (aphorisme 341), deux pensées des plus importantes et des plus énigmatiques auxquelles le nom de Nietzsche demeure attaché.
Si Dieu est mort, et qu'on ne croit plus en lui, pourquoi faut-il encore l'annoncer à des incroyants ? Si je dois revivre ma vie éternellement à l'identique, est-ce avec le souvenir de l'avoir déjà vécue ? Et quelle différence, si je la revis ? Ce livre tente de comprendre la logique et la fonction de ces deux pensées. Convoquant d'autres auteurs (Pascal, Freud, Foucault, Bourdieu, Castoriadis, Jankélévitch) pour mieux éclairer l'expérience que Nietzsche s'efforce également de susciter en nous, Olivier Ponton reconstitue la cohérence si singulière du Gai savoir, ce chef-d'oeuvre d'écriture aphoristique.
Est ainsi mise en lumière une conception originale de la pensée, dont le pouvoir, moins théorique que pratique, est d'abord un pouvoir d'institution : institution du sens et de la valeur de la vie.
Si Dieu est mort, et qu'on ne croit plus en lui, pourquoi faut-il encore l'annoncer à des incroyants ? Si je dois revivre ma vie éternellement à l'identique, est-ce avec le souvenir de l'avoir déjà vécue ? Et quelle différence, si je la revis ? Ce livre tente de comprendre la logique et la fonction de ces deux pensées. Convoquant d'autres auteurs (Pascal, Freud, Foucault, Bourdieu, Castoriadis, Jankélévitch) pour mieux éclairer l'expérience que Nietzsche s'efforce également de susciter en nous, Olivier Ponton reconstitue la cohérence si singulière du Gai savoir, ce chef-d'oeuvre d'écriture aphoristique.
Est ainsi mise en lumière une conception originale de la pensée, dont le pouvoir, moins théorique que pratique, est d'abord un pouvoir d'institution : institution du sens et de la valeur de la vie.
1882. Nietzsche publie Le Gai savoir, un texte joyeux, ironique. Après Choses humaines, trop humaines et Aurore, c'est l'oeuvre d'un convalescent qui retrouve toutes ses forces. Il suffit de lire le titre du prologue : "Plaisanterie, ruse et vengeance", ou celui de l'appendice : "Chanson du prince Hors-la-loi". C'est dans ce livre de la maturité que sont "lancées" la mort de Dieu (aphorisme 125) et l'éternel retour (aphorisme 341), deux pensées des plus importantes et des plus énigmatiques auxquelles le nom de Nietzsche demeure attaché.
Si Dieu est mort, et qu'on ne croit plus en lui, pourquoi faut-il encore l'annoncer à des incroyants ? Si je dois revivre ma vie éternellement à l'identique, est-ce avec le souvenir de l'avoir déjà vécue ? Et quelle différence, si je la revis ? Ce livre tente de comprendre la logique et la fonction de ces deux pensées. Convoquant d'autres auteurs (Pascal, Freud, Foucault, Bourdieu, Castoriadis, Jankélévitch) pour mieux éclairer l'expérience que Nietzsche s'efforce également de susciter en nous, Olivier Ponton reconstitue la cohérence si singulière du Gai savoir, ce chef-d'oeuvre d'écriture aphoristique.
Est ainsi mise en lumière une conception originale de la pensée, dont le pouvoir, moins théorique que pratique, est d'abord un pouvoir d'institution : institution du sens et de la valeur de la vie.
Si Dieu est mort, et qu'on ne croit plus en lui, pourquoi faut-il encore l'annoncer à des incroyants ? Si je dois revivre ma vie éternellement à l'identique, est-ce avec le souvenir de l'avoir déjà vécue ? Et quelle différence, si je la revis ? Ce livre tente de comprendre la logique et la fonction de ces deux pensées. Convoquant d'autres auteurs (Pascal, Freud, Foucault, Bourdieu, Castoriadis, Jankélévitch) pour mieux éclairer l'expérience que Nietzsche s'efforce également de susciter en nous, Olivier Ponton reconstitue la cohérence si singulière du Gai savoir, ce chef-d'oeuvre d'écriture aphoristique.
Est ainsi mise en lumière une conception originale de la pensée, dont le pouvoir, moins théorique que pratique, est d'abord un pouvoir d'institution : institution du sens et de la valeur de la vie.