Dans l'Ain, comme ailleurs en France, le français parlé est émaillé de régionalismes, c'est-à-dire de mots (ex. : bocon, chenis, cuchon, gabouille, pelosse...), de locutions (ex. : de bisangoin, à cacaboson, à cha peu, faire flique...), de sens (ex. : cornet, éclairer, plier, vogue...), de tours grammaticaux (ex. être gonfle, ça mien, un horloge, j'y sais...) qui n'appartiennent pas au français commun.
Ces régionalismes donnent au français parlé dans cette aire une couleur et une saveur particulières. En parcourant cet ouvrage, le lecteur découvrira les 200 régionalismes les plus typiques employés par les Aindinois, illustrés par des exemples parfois savoureux. Dans la rubrique étymologique et historique, il trouvera l'explication de chacun de ces mots dont beaucoup sont des permanences de la langue francoprovençale parlée ici avant le français.
La plupart remontent au latin, les autres sont d'origine germanique ou gauloise ou onomatopéique.
Dans l'Ain, comme ailleurs en France, le français parlé est émaillé de régionalismes, c'est-à-dire de mots (ex. : bocon, chenis, cuchon, gabouille, pelosse...), de locutions (ex. : de bisangoin, à cacaboson, à cha peu, faire flique...), de sens (ex. : cornet, éclairer, plier, vogue...), de tours grammaticaux (ex. être gonfle, ça mien, un horloge, j'y sais...) qui n'appartiennent pas au français commun.
Ces régionalismes donnent au français parlé dans cette aire une couleur et une saveur particulières. En parcourant cet ouvrage, le lecteur découvrira les 200 régionalismes les plus typiques employés par les Aindinois, illustrés par des exemples parfois savoureux. Dans la rubrique étymologique et historique, il trouvera l'explication de chacun de ces mots dont beaucoup sont des permanences de la langue francoprovençale parlée ici avant le français.
La plupart remontent au latin, les autres sont d'origine germanique ou gauloise ou onomatopéique.