Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un livre écrit par ce poète rebelle sur ses prisons, sa résurrection sous le choc de la liberté, les interrogations qui s'ensuivent autour de son...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 24 septembre et le 26 septembre
En librairie
Résumé
Un livre écrit par ce poète rebelle sur ses prisons, sa résurrection sous le choc de la liberté, les interrogations qui s'ensuivent autour de son expérience de vie, d'écriture, de lutte. Il va y avoir du sentiment, du lyrisme ravageur, de la critique et de l'autocritique, de la sauvage dénonciation, de la descente aux enfers. On va nous faire revivre l'univers hallucinant de la Question, nous procurer du concentré de barbarie à portée du portefeuille. On va nous propulser dans l'utopie à laquelle il n'est pas désagréable de faire semblant de croire. C'est cela qui est formidable avec la littérature. Elle nous fait faire l'économie d'un vécu limité sans nous frustrer de la jouissance de nos légitimes fantasmes. Grâce à elle, nous pouvons, en toute quiétude, exercer notre délicieux voyeurisme. Car il faut bien qu'il y ait des victimes pour que la machine du vampirisme humain puisse se repaître. Le mal ou le bien absolu ? Trop simpliste. On sait bien que la fiction est plus forte que la réalité. Alors, lisons sans complexe. Et que chacun tienne le rôle qui lui est dévolu ! "Le fou d'espoir" n'est pas dupe. Il a appris la saine cruauté du sourire. Mais il persiste et signe. Pas question pour lui de raconter des histoires, être mercenaire ou prisonnier des mots. Il ne peut écrire qu'avec sa vie, la mettre sans cesse en jeu et, de ce fait, ouvrir sa main ensanglantée à tous ceux qui peuvent encore entendre le cri de l'homme.