Le fond de l'air. Chroniques de la NRF 1988-1995

Par : Jacques Réda
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  • Nombre de pages128
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.164 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-07-290670-1
  • EAN9782072906701
  • Date de parution19/11/2020
  • CollectionLes cahiers de la NRF
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Devenu le cinquième directeur de la Nouvelle Revue française en 1987, succédant à sa grande surprise à Jacques Rivière, Jean Paulhan, Marcel Arland et Georges Lambrichs, il aura fallu un an à Jacques Réda pour se résoudre à monter lui-même dans le " train ". C'est dans le " fourgon arrière" qu'il décide alors de publier ses propres chroniques, en " passager clandestin ", affirme-t-il, croquant malicieusement son époque le nez au vent, dans une grande diversité de " questions ".
Celles de la couche d'ozone, de la toponymie, de la " CB ", des extraterrestres, de la nouvelle Grande Bibliothèque de France, du phonographe, des frontières ou des sondages télescopent celles de l'orthographe, du langage, de la poésie ou du style. A propos de la question militaire, Réda convoque Valery Larbaud ; parlant du " jeu de ballon rond ", il évoque à la fois Pindare et Jean-Pierre Papin et s'élève contre les séances de tirs au but ; sa question concernant la " fin du monde " s'achève par une sentence définitive : "L'éternité existe mais elle ne dure jamais longtemps ".
Ainsi Le fond de l'air de Jacques Réda fleure-t-il bon le pessimisme joyeux, l'érudition amusante, l'humour pince-sans-rire, relevant partout la cocasserie et les paradoxes de nos temps "modernes". Et ce que Réda observe dans les années 1990 ne laisse pas de résonner, tout comme des épigrammes de Martial ou des satires de Juvénal...
Devenu le cinquième directeur de la Nouvelle Revue française en 1987, succédant à sa grande surprise à Jacques Rivière, Jean Paulhan, Marcel Arland et Georges Lambrichs, il aura fallu un an à Jacques Réda pour se résoudre à monter lui-même dans le " train ". C'est dans le " fourgon arrière" qu'il décide alors de publier ses propres chroniques, en " passager clandestin ", affirme-t-il, croquant malicieusement son époque le nez au vent, dans une grande diversité de " questions ".
Celles de la couche d'ozone, de la toponymie, de la " CB ", des extraterrestres, de la nouvelle Grande Bibliothèque de France, du phonographe, des frontières ou des sondages télescopent celles de l'orthographe, du langage, de la poésie ou du style. A propos de la question militaire, Réda convoque Valery Larbaud ; parlant du " jeu de ballon rond ", il évoque à la fois Pindare et Jean-Pierre Papin et s'élève contre les séances de tirs au but ; sa question concernant la " fin du monde " s'achève par une sentence définitive : "L'éternité existe mais elle ne dure jamais longtemps ".
Ainsi Le fond de l'air de Jacques Réda fleure-t-il bon le pessimisme joyeux, l'érudition amusante, l'humour pince-sans-rire, relevant partout la cocasserie et les paradoxes de nos temps "modernes". Et ce que Réda observe dans les années 1990 ne laisse pas de résonner, tout comme des épigrammes de Martial ou des satires de Juvénal...
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