Le fol marbre
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- Nombre de pages252
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.322 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-8180-3966-3
- EAN9782818039663
- Date de parution01/04/2016
- ÉditeurP.O.L
- TraducteurElsa Boyer
Résumé
Le héros narrateur de ce nouveau roman de Dennis Cooper est un étrange personnage, amateur de jeunes gens dépressifs et cannibales... Le décor est planté ! Il nous raconte ses exploits, avec des amis qui partagent ses goûts, à l'occasion de l'acquisition qu'il vient de faire d'un château ainsi que d'un de ses jeunes occupants qui ne s'en sortira pas comme ça... Comme à l'accoutumée avec Dennis Cooper, ce qui est raconté, aussi horrible que cela soit, reste sinon théorique du moins conserve son statut de phantasme.
A aucun moment il n'y a de tentation réaliste ou naturaliste. Et dans ce livre, l'architecture, très présente et qui joue un grand rôle, de même qu'une syntaxe très bousculée qu'il a été difficile de traduire, évoque les structures mentales passablement dérangées des personnages. C'est fascinant.
A aucun moment il n'y a de tentation réaliste ou naturaliste. Et dans ce livre, l'architecture, très présente et qui joue un grand rôle, de même qu'une syntaxe très bousculée qu'il a été difficile de traduire, évoque les structures mentales passablement dérangées des personnages. C'est fascinant.
Le héros narrateur de ce nouveau roman de Dennis Cooper est un étrange personnage, amateur de jeunes gens dépressifs et cannibales... Le décor est planté ! Il nous raconte ses exploits, avec des amis qui partagent ses goûts, à l'occasion de l'acquisition qu'il vient de faire d'un château ainsi que d'un de ses jeunes occupants qui ne s'en sortira pas comme ça... Comme à l'accoutumée avec Dennis Cooper, ce qui est raconté, aussi horrible que cela soit, reste sinon théorique du moins conserve son statut de phantasme.
A aucun moment il n'y a de tentation réaliste ou naturaliste. Et dans ce livre, l'architecture, très présente et qui joue un grand rôle, de même qu'une syntaxe très bousculée qu'il a été difficile de traduire, évoque les structures mentales passablement dérangées des personnages. C'est fascinant.
A aucun moment il n'y a de tentation réaliste ou naturaliste. Et dans ce livre, l'architecture, très présente et qui joue un grand rôle, de même qu'une syntaxe très bousculée qu'il a été difficile de traduire, évoque les structures mentales passablement dérangées des personnages. C'est fascinant.








