Le Fléau. Journal particulier, 1917-1930, suivi d' un fragment inédit, 1932
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages392
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.378 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,1 cm × 0,2 cm
- ISBN2-7152-1582-7
- EAN9782715215825
- Date de parution01/02/1989
- CollectionLa Bleue
- ÉditeurMercure de France
Résumé
En 1908, Léautaud rencontre une "femme à bêtes" , mal mariée, Anne Cayssac ; dodue, et polissonne à souhait, âgée de 45 ans ; l'âge auquel notre homme apprécie la femme. Grand plaisir des sens, libertinage, "vice" , passion mutuelle, les amants sont bien assortis sur ce point. Voilà qui aurait pu favoriser la naissance de l'amour. Hélas, Anne n'a qu'hostilité pour les travaux littéraires de Paul ; et Paul n'aime pas les côtés "petit-bourgeois" d'Anne.
Elle le trouve "lâche dans son ignominie" , il la trouve incapable "d'intimité morale" ; elle le traite de bandit, de voyou, de crapule, de canaille, de voleur, il l'appelle "garce malfaisante" , "Fléau" , "Panthère" . Léautaud a laissé ce Journal plein de criailleries, d'injures, de chagrin, de révolte, de solitude, d'expression de la jalousie ; des pages tour à tour émouvantes, comiques à force de sordide.
Le fragment inédit de l'année 1932 qu'ajoute Edith Silve marque la limite entre une liaison qui s'éteint et une autre qui commence avec Marie Dormoy.
Elle le trouve "lâche dans son ignominie" , il la trouve incapable "d'intimité morale" ; elle le traite de bandit, de voyou, de crapule, de canaille, de voleur, il l'appelle "garce malfaisante" , "Fléau" , "Panthère" . Léautaud a laissé ce Journal plein de criailleries, d'injures, de chagrin, de révolte, de solitude, d'expression de la jalousie ; des pages tour à tour émouvantes, comiques à force de sordide.
Le fragment inédit de l'année 1932 qu'ajoute Edith Silve marque la limite entre une liaison qui s'éteint et une autre qui commence avec Marie Dormoy.
En 1908, Léautaud rencontre une "femme à bêtes" , mal mariée, Anne Cayssac ; dodue, et polissonne à souhait, âgée de 45 ans ; l'âge auquel notre homme apprécie la femme. Grand plaisir des sens, libertinage, "vice" , passion mutuelle, les amants sont bien assortis sur ce point. Voilà qui aurait pu favoriser la naissance de l'amour. Hélas, Anne n'a qu'hostilité pour les travaux littéraires de Paul ; et Paul n'aime pas les côtés "petit-bourgeois" d'Anne.
Elle le trouve "lâche dans son ignominie" , il la trouve incapable "d'intimité morale" ; elle le traite de bandit, de voyou, de crapule, de canaille, de voleur, il l'appelle "garce malfaisante" , "Fléau" , "Panthère" . Léautaud a laissé ce Journal plein de criailleries, d'injures, de chagrin, de révolte, de solitude, d'expression de la jalousie ; des pages tour à tour émouvantes, comiques à force de sordide.
Le fragment inédit de l'année 1932 qu'ajoute Edith Silve marque la limite entre une liaison qui s'éteint et une autre qui commence avec Marie Dormoy.
Elle le trouve "lâche dans son ignominie" , il la trouve incapable "d'intimité morale" ; elle le traite de bandit, de voyou, de crapule, de canaille, de voleur, il l'appelle "garce malfaisante" , "Fléau" , "Panthère" . Léautaud a laissé ce Journal plein de criailleries, d'injures, de chagrin, de révolte, de solitude, d'expression de la jalousie ; des pages tour à tour émouvantes, comiques à force de sordide.
Le fragment inédit de l'année 1932 qu'ajoute Edith Silve marque la limite entre une liaison qui s'éteint et une autre qui commence avec Marie Dormoy.