Le financement public des religions et de la laïcité en Belgique
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- Nombre de pages203
- PrésentationBroché
- Poids0.295 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-87209-961-0
- EAN9782872099610
- Date de parution10/03/2010
- CollectionIntellection
- ÉditeurAcademia (Editions)
Résumé
La Constitution belge établit le principe du financement public des cultes et des organisations philosophiques non confessionnelles. Ainsi, l'Etat paie les salaires des prêtres, pasteurs et rabbins, et depuis peu des délégués laïques et des imams. Les communes et les provinces sont, quant à elles, tenues de financer l'entretien et le fonctionnement des lieux de culte et des services d'assistance morale laïque.
Ce système, en vigueur depuis 1831, connaît actuellement d'importantes évolutions. D'une part, la transformation de la Belgique en un Etat fédéral a amené un nouveau partage des compétences. D'autre part, la reconnaissance du culte musulman, qui n'avait jamais sorti son plein effet, vient de franchir une étape importante: les premières mosquées ont enfin été reconnues. Cet ouvrage collectif expose l'origine du financement public des cultes et de la laïcité organisée, ses mécanismes, et les montants affectés; considérant notamment la pratique religieuse actuelle, il s'interroge sur son avenir.
Ce système, en vigueur depuis 1831, connaît actuellement d'importantes évolutions. D'une part, la transformation de la Belgique en un Etat fédéral a amené un nouveau partage des compétences. D'autre part, la reconnaissance du culte musulman, qui n'avait jamais sorti son plein effet, vient de franchir une étape importante: les premières mosquées ont enfin été reconnues. Cet ouvrage collectif expose l'origine du financement public des cultes et de la laïcité organisée, ses mécanismes, et les montants affectés; considérant notamment la pratique religieuse actuelle, il s'interroge sur son avenir.
La Constitution belge établit le principe du financement public des cultes et des organisations philosophiques non confessionnelles. Ainsi, l'Etat paie les salaires des prêtres, pasteurs et rabbins, et depuis peu des délégués laïques et des imams. Les communes et les provinces sont, quant à elles, tenues de financer l'entretien et le fonctionnement des lieux de culte et des services d'assistance morale laïque.
Ce système, en vigueur depuis 1831, connaît actuellement d'importantes évolutions. D'une part, la transformation de la Belgique en un Etat fédéral a amené un nouveau partage des compétences. D'autre part, la reconnaissance du culte musulman, qui n'avait jamais sorti son plein effet, vient de franchir une étape importante: les premières mosquées ont enfin été reconnues. Cet ouvrage collectif expose l'origine du financement public des cultes et de la laïcité organisée, ses mécanismes, et les montants affectés; considérant notamment la pratique religieuse actuelle, il s'interroge sur son avenir.
Ce système, en vigueur depuis 1831, connaît actuellement d'importantes évolutions. D'une part, la transformation de la Belgique en un Etat fédéral a amené un nouveau partage des compétences. D'autre part, la reconnaissance du culte musulman, qui n'avait jamais sorti son plein effet, vient de franchir une étape importante: les premières mosquées ont enfin été reconnues. Cet ouvrage collectif expose l'origine du financement public des cultes et de la laïcité organisée, ses mécanismes, et les montants affectés; considérant notamment la pratique religieuse actuelle, il s'interroge sur son avenir.