Le fils de Jean-Pierre et Luc Dardenne
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- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.156 kg
- Dimensions17,0 cm × 12,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-87340-474-1
- EAN9782873404741
- Date de parution17/09/2021
- CollectionCôté films
- ÉditeurYellow now
Résumé
Une question brûlante est au coeur du film des frères Dardenne, elle façonne son écriture et sa mise en scène. Une question qui se répète sans cesse jusqu'à l'épuisement — comme Olivier répète les gestes bien concrets de l'enseignant qu'il est. Véhiculée par l'entrelacs des images et des sons, elle pénètre peu à peu le spectateur pour bousculer son point de vue, le placer dans l'inconfort du doute, de l'obsession.
Que faire ? Accepter le garçon ou se venger de lui ? Et derrière cette question une autre plus profonde : si la douleur de la perte légitime la vengeance, le corps, lui, est-il capable de l'accomplir ? Paul Vincent de Lestrade tente dans ce livre de faire émerger cette question et de montrer comment par les moyens qui lui sont propres le film y répond. Ce faisant, il esquisse les grandes lignes de l'éthique cinématographique et, à travers elle, de la conception de l'humain et du monde dont le film est porteur.
On trouvera, en fin de volume, un entretien avec Jean-Pierre Duret, ingénieur du son sur Le Fils comme sur la majorité des films des frères Dardenne. Avec franc-parler, il revient sur la conception de la bande sonore du film et décrit un processus de travail dans lequel la "méthode" se réinvente sans cesse dans la collaboration et la confrontation au réel.
Que faire ? Accepter le garçon ou se venger de lui ? Et derrière cette question une autre plus profonde : si la douleur de la perte légitime la vengeance, le corps, lui, est-il capable de l'accomplir ? Paul Vincent de Lestrade tente dans ce livre de faire émerger cette question et de montrer comment par les moyens qui lui sont propres le film y répond. Ce faisant, il esquisse les grandes lignes de l'éthique cinématographique et, à travers elle, de la conception de l'humain et du monde dont le film est porteur.
On trouvera, en fin de volume, un entretien avec Jean-Pierre Duret, ingénieur du son sur Le Fils comme sur la majorité des films des frères Dardenne. Avec franc-parler, il revient sur la conception de la bande sonore du film et décrit un processus de travail dans lequel la "méthode" se réinvente sans cesse dans la collaboration et la confrontation au réel.
Une question brûlante est au coeur du film des frères Dardenne, elle façonne son écriture et sa mise en scène. Une question qui se répète sans cesse jusqu'à l'épuisement — comme Olivier répète les gestes bien concrets de l'enseignant qu'il est. Véhiculée par l'entrelacs des images et des sons, elle pénètre peu à peu le spectateur pour bousculer son point de vue, le placer dans l'inconfort du doute, de l'obsession.
Que faire ? Accepter le garçon ou se venger de lui ? Et derrière cette question une autre plus profonde : si la douleur de la perte légitime la vengeance, le corps, lui, est-il capable de l'accomplir ? Paul Vincent de Lestrade tente dans ce livre de faire émerger cette question et de montrer comment par les moyens qui lui sont propres le film y répond. Ce faisant, il esquisse les grandes lignes de l'éthique cinématographique et, à travers elle, de la conception de l'humain et du monde dont le film est porteur.
On trouvera, en fin de volume, un entretien avec Jean-Pierre Duret, ingénieur du son sur Le Fils comme sur la majorité des films des frères Dardenne. Avec franc-parler, il revient sur la conception de la bande sonore du film et décrit un processus de travail dans lequel la "méthode" se réinvente sans cesse dans la collaboration et la confrontation au réel.
Que faire ? Accepter le garçon ou se venger de lui ? Et derrière cette question une autre plus profonde : si la douleur de la perte légitime la vengeance, le corps, lui, est-il capable de l'accomplir ? Paul Vincent de Lestrade tente dans ce livre de faire émerger cette question et de montrer comment par les moyens qui lui sont propres le film y répond. Ce faisant, il esquisse les grandes lignes de l'éthique cinématographique et, à travers elle, de la conception de l'humain et du monde dont le film est porteur.
On trouvera, en fin de volume, un entretien avec Jean-Pierre Duret, ingénieur du son sur Le Fils comme sur la majorité des films des frères Dardenne. Avec franc-parler, il revient sur la conception de la bande sonore du film et décrit un processus de travail dans lequel la "méthode" se réinvente sans cesse dans la collaboration et la confrontation au réel.