Le droit des relations Eglise-Etats chez Louis de Naurois et Henri Wagnon. Histoire comparée de deux doctrines
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages438
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.701 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-343-21606-5
- EAN9782343216065
- Date de parution21/12/2020
- CollectionReligions et spiritualité
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierRoland Minnerath
Résumé
Alors que le Concile Vatican II (1962-1965) ouvre de nouvelles perspectives à l'Eglise et à sa mission évangélisatrice, deux juristes de l'Eglise s'attellent à traduire ces réformes en langage canonique. Le premier, Louis de Naurois (1909-2006), fut un professeur de l'Institut Catholique de Toulouse et un précurseur du Concile Vatican II, spécialement de la déclaration Dignitatis Humanae. Le deuxième, Henri Wagnon (1906-1983), juriste belge connu pour avoir démontré que le concordat est un véritable traité de droit international, ne s'oppose pas aussi frontalement au Ius Publicum Ecclesiasticum mais il cherche des voies novatrices pour que les sphères spirituelle et temporelle se rencontrent sur un terrain juridique sûr.
A l'université de Louvain, Wagnon a également été influencé par saint Thomas d'Aquin. Cette étude comparée permet une lecture de l'histoire de l'Eglise récente au prisme de l'herméneutique de la réforme dans la continuité chère à Benoît XVI.
A l'université de Louvain, Wagnon a également été influencé par saint Thomas d'Aquin. Cette étude comparée permet une lecture de l'histoire de l'Eglise récente au prisme de l'herméneutique de la réforme dans la continuité chère à Benoît XVI.
Alors que le Concile Vatican II (1962-1965) ouvre de nouvelles perspectives à l'Eglise et à sa mission évangélisatrice, deux juristes de l'Eglise s'attellent à traduire ces réformes en langage canonique. Le premier, Louis de Naurois (1909-2006), fut un professeur de l'Institut Catholique de Toulouse et un précurseur du Concile Vatican II, spécialement de la déclaration Dignitatis Humanae. Le deuxième, Henri Wagnon (1906-1983), juriste belge connu pour avoir démontré que le concordat est un véritable traité de droit international, ne s'oppose pas aussi frontalement au Ius Publicum Ecclesiasticum mais il cherche des voies novatrices pour que les sphères spirituelle et temporelle se rencontrent sur un terrain juridique sûr.
A l'université de Louvain, Wagnon a également été influencé par saint Thomas d'Aquin. Cette étude comparée permet une lecture de l'histoire de l'Eglise récente au prisme de l'herméneutique de la réforme dans la continuité chère à Benoît XVI.
A l'université de Louvain, Wagnon a également été influencé par saint Thomas d'Aquin. Cette étude comparée permet une lecture de l'histoire de l'Eglise récente au prisme de l'herméneutique de la réforme dans la continuité chère à Benoît XVI.