Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le divan ou le prie-Dieu ? Le psy ou le prêtre ? Longtemps, psychanalyse et religion se sont ignorées, voire violemment opposées. Les théories de...
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Le divan ou le prie-Dieu ? Le psy ou le prêtre ? Longtemps, psychanalyse et religion se sont ignorées, voire violemment opposées. Les théories de Freud, le " maître du soupçon ", mettant à nu l'inconscient et les pulsions de la sexualité, ne pouvaient que susciter la suspicion d'une Église campant sur son moralisme. Et de leur côté, bien des tenants de la psychanalyse n'étaient guère ouverts aux questions spirituelles, et se montraient même franchement hostiles à cette dimension existentielle de l'être humain. Reprenant cette relation conflictuelle, Marie Romanens met en évidence les causes d'une telle mésentente. Comprendre les raisons profondes des tendances au repli, à l'enfermement et au rejet d'autrui dans les deux domaines permet de lever nombre d'obstacles sur le chemin d'un possible dialogue. Car malgré toutes les difficultés, ce dialogue existe. Aujourd'hui, il se nourrit du questionnement des sciences humaines sur le religieux et des découvertes les plus récentes de la psychanalyse. Avec beaucoup de clarté, Marie Romanens reprend et discute l'apport de nombreux auteurs : Françoise Dolto, Marie Balmary, Eugen Drewermann, Gérard Haddad... Tout en proposant une réflexion personnelle forte. A un moment où le psychologique croise le spirituel, où l'individu est à la recherche d'un nouvel équilibre pour son développement personnel, ce livre de Marie Romanens est particulièrement attendu.
Sommaire
LA MESENTENTE
La méfiance
Homme, femme, d'où viens-tu ? La révolution freudienne, ses limites