Le discernement des esprits selon Ignace de Loyola. Les aléas d'une transmission (XVIe - XXIe siècles)
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- Nombre de pages204
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.21 kg
- Dimensions11,6 cm × 18,9 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-87299-409-0
- EAN9782872994090
- Date de parution25/11/2021
- CollectionPetite Bibliothèque Jésuite
- ÉditeurLessius éditions
Résumé
Ignace de Loyola n´a pas inventé le " discernement des esprits ". Son originalité profonde, instauratrice de la " spiritualité ignatienne ", consiste à l´avoir mis au service de la prise de décision. Il fallait reprendre la question à frais nouveaux. Comment comprendre ces " motions intérieures " qui relèvent de l´involontaire et qui affectent nos manières d´être et d´agir ? Qu´entendait-on par " esprits " au temps de saint Ignace ? La réponse engage notre manière de penser aujourd´hui l´expérience spirituelle.
Peut-on se contenter de dire que les " esprits " renvoient à l´inconscient ? Certes, l´expérience d´Ignace s´est formulée, dès sa conversion, en termes " psychologiques ", de plaisir et de déplaisir. Certes, le livre montre que sa postérité a tôt fait bon marché des " esprits " pour se concentrer sur l´analyse des " passions ". Mais invoquer, sans plus, le " moi profond " ou le " psychologique ", risque de laisser échapper l´essentiel.
Peut-on se contenter de dire que les " esprits " renvoient à l´inconscient ? Certes, l´expérience d´Ignace s´est formulée, dès sa conversion, en termes " psychologiques ", de plaisir et de déplaisir. Certes, le livre montre que sa postérité a tôt fait bon marché des " esprits " pour se concentrer sur l´analyse des " passions ". Mais invoquer, sans plus, le " moi profond " ou le " psychologique ", risque de laisser échapper l´essentiel.
Ignace de Loyola n´a pas inventé le " discernement des esprits ". Son originalité profonde, instauratrice de la " spiritualité ignatienne ", consiste à l´avoir mis au service de la prise de décision. Il fallait reprendre la question à frais nouveaux. Comment comprendre ces " motions intérieures " qui relèvent de l´involontaire et qui affectent nos manières d´être et d´agir ? Qu´entendait-on par " esprits " au temps de saint Ignace ? La réponse engage notre manière de penser aujourd´hui l´expérience spirituelle.
Peut-on se contenter de dire que les " esprits " renvoient à l´inconscient ? Certes, l´expérience d´Ignace s´est formulée, dès sa conversion, en termes " psychologiques ", de plaisir et de déplaisir. Certes, le livre montre que sa postérité a tôt fait bon marché des " esprits " pour se concentrer sur l´analyse des " passions ". Mais invoquer, sans plus, le " moi profond " ou le " psychologique ", risque de laisser échapper l´essentiel.
Peut-on se contenter de dire que les " esprits " renvoient à l´inconscient ? Certes, l´expérience d´Ignace s´est formulée, dès sa conversion, en termes " psychologiques ", de plaisir et de déplaisir. Certes, le livre montre que sa postérité a tôt fait bon marché des " esprits " pour se concentrer sur l´analyse des " passions ". Mais invoquer, sans plus, le " moi profond " ou le " psychologique ", risque de laisser échapper l´essentiel.