Certes, on va d'horreurs en monstruosités. Dans ces destins croisés, on ne sait à qui donner la palme du pire. Et pourtant, à aucun moment on a le désir de refermer le livre. C'est même tout le contraire qui se produit. Dès la première page, on est captivé.
Soit que la mise en tension des différentes intrigues se montre efficace, soit que le procédé d'écriture nous piège. Pollock enchaîne ,dans de longues phrase, des petites touches impressionnistes,anodines, puis crescendo, seule la dernière révèle l'ignominie. Cette mise à distance du réel établit un autre regard sur la folie des personnages. Cette dernière devient en quelque sorte un objet esthétique. Les scènes ensanglantées de prières sont absolument hallucinantes.
Qu'on se rassure adviendra un ange exterminateur pour tout purifier.
Certes, on va d'horreurs en monstruosités. Dans ces destins croisés, on ne sait à qui donner la palme du pire. Et pourtant, à aucun moment on a le désir de refermer le livre. C'est même tout le contraire qui se produit. Dès la première page, on est captivé.
Soit que la mise en tension des différentes intrigues se montre efficace, soit que le procédé d'écriture nous piège. Pollock enchaîne ,dans de longues phrase, des petites touches impressionnistes,anodines, puis crescendo, seule la dernière révèle l'ignominie. Cette mise à distance du réel établit un autre regard sur la folie des personnages. Cette dernière devient en quelque sorte un objet esthétique. Les scènes ensanglantées de prières sont absolument hallucinantes.
Qu'on se rassure adviendra un ange exterminateur pour tout purifier.