Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le Diable, daté du 19 novembre 1889, fait partie des nombreuses œuvres (romans, nouvelles, pièces de théâtre, dialogues) encore inédites à la mort...
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Résumé
Le Diable, daté du 19 novembre 1889, fait partie des nombreuses œuvres (romans, nouvelles, pièces de théâtre, dialogues) encore inédites à la mort de Léon Tolstoï. La plupart d'entre elles ont été réunies en 1911 dans les Œuvres posthumes. Certains de ces textes remontent à 1883 (Le journal d'un fou), d'autres appartiennent aux dernières années de Tolstoï ; mais, d'une manière générale, ils peuvent tous être répartis en deux catégories : ceux que Tolstoï a écrits par volonté morale, et ceux que lui a dictés son instinct artistique. Le Diable se rattache nettement à la première d'entre elles. Au départ, Le Diable a été inspiré à Tolstoï par un fait divers relatant le crime d'un fonctionnaire du gouvernement de Toula, Friéderichs, qui avait assassiné sa maîtresse, la paysanne Stépanida.
Comme beaucoup d'autres oeuvres tolstoïennes, cette nouvelle est largement autobiographique et, d'un bout à l'autre, elle trahit un accent personnel, allant parfois jusqu'à l'angoisse. Traduction révisée.