Le dessin français de paysage aux XVIIe et XVIIIe siècles
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- Nombre de pages127
- PrésentationBroché
- Poids0.775 kg
- Dimensions29,0 cm × 25,0 cm × 1,3 cm
- ISBN978-88-366-2035-7
- EAN9788836620357
- Date de parution21/09/2011
- ÉditeurSilvana Editoriale
Résumé
Préfiguration de la vocation nouvelle du Petit Château du Domaine de Sceaux, l'exposition consacrée au dessin français de paysage des XVIIe et XVIIIe siècles a permis la réunion d'une cinquantaine d'oeuvres provenant de plusieurs grands musées de province (Besançon, Dijon, Epinal, Marseille, Montpellier, Quimper, Rouen), ainsi que du Louvre et de quelques autres très grandes collections parisiennes (musée Carnavalet, Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts, Fondation Custodia - collection Frits Lugt).
Le fonds propre du musée de l'Ile-de-France vient compléter une sélection valorisant différents types de paysage, servis par une grande diversité de techniques graphiques (pierre noire, sanguine, lavis d'encre, aquarelle). Que la représentation porte sur des sites rustiques ou urbains, que le cadrage en soit panoramique ou resserré, que l'élément humain y trouve ou non sa place, ces feuilles se livrent comme autant de visions singulières du monde, soutenues par des principes esthétiques très affirmés.
Ainsi les dessins de Claude Gellée, de Sébastien Bourdon ou de Pierre Patel, au XVIIe siècle, véhiculent une pensée résolument classique, nourrie de poésie virgilienne appelant à une méditation sereine, tandis que ceux de François Boucher, de Jean-Honoré Fragonard ou d'Hubert Robert, au siècle suivant, cherchent davantage, par leurs rythmes puissants et presque musicaux, à surprendre et déstabiliser le spectateur.
Quelques dessins s'imposent comme d'évidents chefs-d'oeuvre, tels l'Ermitage sur un rocher de Jacques Callot, la Vue de Marseille d'Israël Silvestre ou l'étonnante Vue de Paris du chevalier de Lespinasse.
Le fonds propre du musée de l'Ile-de-France vient compléter une sélection valorisant différents types de paysage, servis par une grande diversité de techniques graphiques (pierre noire, sanguine, lavis d'encre, aquarelle). Que la représentation porte sur des sites rustiques ou urbains, que le cadrage en soit panoramique ou resserré, que l'élément humain y trouve ou non sa place, ces feuilles se livrent comme autant de visions singulières du monde, soutenues par des principes esthétiques très affirmés.
Ainsi les dessins de Claude Gellée, de Sébastien Bourdon ou de Pierre Patel, au XVIIe siècle, véhiculent une pensée résolument classique, nourrie de poésie virgilienne appelant à une méditation sereine, tandis que ceux de François Boucher, de Jean-Honoré Fragonard ou d'Hubert Robert, au siècle suivant, cherchent davantage, par leurs rythmes puissants et presque musicaux, à surprendre et déstabiliser le spectateur.
Quelques dessins s'imposent comme d'évidents chefs-d'oeuvre, tels l'Ermitage sur un rocher de Jacques Callot, la Vue de Marseille d'Israël Silvestre ou l'étonnante Vue de Paris du chevalier de Lespinasse.
Préfiguration de la vocation nouvelle du Petit Château du Domaine de Sceaux, l'exposition consacrée au dessin français de paysage des XVIIe et XVIIIe siècles a permis la réunion d'une cinquantaine d'oeuvres provenant de plusieurs grands musées de province (Besançon, Dijon, Epinal, Marseille, Montpellier, Quimper, Rouen), ainsi que du Louvre et de quelques autres très grandes collections parisiennes (musée Carnavalet, Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts, Fondation Custodia - collection Frits Lugt).
Le fonds propre du musée de l'Ile-de-France vient compléter une sélection valorisant différents types de paysage, servis par une grande diversité de techniques graphiques (pierre noire, sanguine, lavis d'encre, aquarelle). Que la représentation porte sur des sites rustiques ou urbains, que le cadrage en soit panoramique ou resserré, que l'élément humain y trouve ou non sa place, ces feuilles se livrent comme autant de visions singulières du monde, soutenues par des principes esthétiques très affirmés.
Ainsi les dessins de Claude Gellée, de Sébastien Bourdon ou de Pierre Patel, au XVIIe siècle, véhiculent une pensée résolument classique, nourrie de poésie virgilienne appelant à une méditation sereine, tandis que ceux de François Boucher, de Jean-Honoré Fragonard ou d'Hubert Robert, au siècle suivant, cherchent davantage, par leurs rythmes puissants et presque musicaux, à surprendre et déstabiliser le spectateur.
Quelques dessins s'imposent comme d'évidents chefs-d'oeuvre, tels l'Ermitage sur un rocher de Jacques Callot, la Vue de Marseille d'Israël Silvestre ou l'étonnante Vue de Paris du chevalier de Lespinasse.
Le fonds propre du musée de l'Ile-de-France vient compléter une sélection valorisant différents types de paysage, servis par une grande diversité de techniques graphiques (pierre noire, sanguine, lavis d'encre, aquarelle). Que la représentation porte sur des sites rustiques ou urbains, que le cadrage en soit panoramique ou resserré, que l'élément humain y trouve ou non sa place, ces feuilles se livrent comme autant de visions singulières du monde, soutenues par des principes esthétiques très affirmés.
Ainsi les dessins de Claude Gellée, de Sébastien Bourdon ou de Pierre Patel, au XVIIe siècle, véhiculent une pensée résolument classique, nourrie de poésie virgilienne appelant à une méditation sereine, tandis que ceux de François Boucher, de Jean-Honoré Fragonard ou d'Hubert Robert, au siècle suivant, cherchent davantage, par leurs rythmes puissants et presque musicaux, à surprendre et déstabiliser le spectateur.
Quelques dessins s'imposent comme d'évidents chefs-d'oeuvre, tels l'Ermitage sur un rocher de Jacques Callot, la Vue de Marseille d'Israël Silvestre ou l'étonnante Vue de Paris du chevalier de Lespinasse.