Le dernier Shôgun

Par : Ryôtarô Shiba

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  • Nombre de pages384
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-8097-1238-4
  • EAN9782809712384
  • Date de parution05/01/2017
  • CollectionPicquier poche
  • ÉditeurPhilippe Picquier
  • TraducteurCorinne Atlan

Résumé

Certaines vies ressemblent à des romans. Ainsi en va-t-il de la vie de Yoshinobu, qui devint shôgun non grâce à sa naissance mais à ses talents, et qui, malgré son orgueil de guerrier, préféra la voie de la paix au tumulte des armes. Yoshinobu fut, à la fin du XIXe siècle, le dernier shôgun du Japon féodal. Shiba, auteur de nombreux romans populaires historiques, nous raconte ici les ultimes soubresauts d'un empire qui va s'effondrer, les rivalités de clans et les luttes de palais.
A travers sa carrière mouvementée dans un monde en pleine mutation, se dessine le portrait attachant d'un homme solitaire, d'un shôgun éclairé, d'un politicien visionnaire évoluant au milieu de nobles de cour décadents et de samouraïs dévorés d'ambition. Mort en 1913, le dernier shôgun a été le témoin de la naissance du Japon moderne, et vu l'ancien Edo devenir peu à peu ce Tôkyô nostalgique du début du XXe siècle, si magistralement décrit par Kawabata, Sôseki ou Kafû.
Certaines vies ressemblent à des romans. Ainsi en va-t-il de la vie de Yoshinobu, qui devint shôgun non grâce à sa naissance mais à ses talents, et qui, malgré son orgueil de guerrier, préféra la voie de la paix au tumulte des armes. Yoshinobu fut, à la fin du XIXe siècle, le dernier shôgun du Japon féodal. Shiba, auteur de nombreux romans populaires historiques, nous raconte ici les ultimes soubresauts d'un empire qui va s'effondrer, les rivalités de clans et les luttes de palais.
A travers sa carrière mouvementée dans un monde en pleine mutation, se dessine le portrait attachant d'un homme solitaire, d'un shôgun éclairé, d'un politicien visionnaire évoluant au milieu de nobles de cour décadents et de samouraïs dévorés d'ambition. Mort en 1913, le dernier shôgun a été le témoin de la naissance du Japon moderne, et vu l'ancien Edo devenir peu à peu ce Tôkyô nostalgique du début du XXe siècle, si magistralement décrit par Kawabata, Sôseki ou Kafû.