Désœuvrés, les héros de l'auteur se cherchent, errant dans les rues de Rome, sous les rayons du soleil ou de la lune. Oiseaux de nuit, ils aiment pourtant se nourrir de la chaleur italienne, de son ambre douce bientôt brûlante alors qu'août arrive. Ils flottent, souvent soûls, dissimulant une mélancolie latente et irrémédiable, un mal de vivre incurable que le tourbillon mondain accentue, induisant une torpeur étourdissante et écœurante (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/06/29/le-dernier-ete-en-ville-gianfranco-calligarich/)
Désœuvrés, les héros de l'auteur se cherchent, errant dans les rues de Rome, sous les rayons du soleil ou de la lune. Oiseaux de nuit, ils aiment pourtant se nourrir de la chaleur italienne, de son ambre douce bientôt brûlante alors qu'août arrive. Ils flottent, souvent soûls, dissimulant une mélancolie latente et irrémédiable, un mal de vivre incurable que le tourbillon mondain accentue, induisant une torpeur étourdissante et écœurante (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/06/29/le-dernier-ete-en-ville-gianfranco-calligarich/)