Le dernier espion. Autobiographie
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages383
- PrésentationBroché
- Poids0.51 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-36942-180-1
- EAN9782369421801
- Date de parution24/04/2015
- ÉditeurNouveau Monde
- TraducteurSylvia Klingberg
- PostfacierIan Brossat
Résumé
«Ce qui m'accablait le plus, c'étaient la honte et le regret. Pas d'avoir espionné pour l'Union soviétique, non. [...] Mon sentiment d'humiliation provenait du fait de m'être laissé briser, d'avoir coopéré avec le Shin Beth et avalé ses couleuvres.» Depuis 1950, et pendant presque trois décennies, Marcus Klingberg a été un agent du KGB, transmettant à ses officiers traitants soviétiques les résultats de recherches ultraconfidentielles menées à l'Institut de recherche biologique de Ness Ziona en Israël, où il exerce la fonction de directeur scientifique adjoint.
En janvier 1983, Marcus Klingberg, alors professeur à l'université de Tel-Aviv et chercheur de renom international, est arrêté, jugé à huis clos pour espionnage et condamné à la peine maximale, à savoir vingt ans d'emprisonnement. Il est détenu sous un faux nom et le public ne commence à connaître quelques bribes de son histoire qu'une décennie plus tard. Celui que les services secrets israéliens ont qualifié d'«espion ayant causé les plus graves dégâts à la sécurité du pays» consigne dans ce livre le récit de sa vie depuis la fin de la Première Guerre mondiale en Pologne jusqu'à nos jours à Paris, où il vit depuis sa libération en 2003.
En janvier 1983, Marcus Klingberg, alors professeur à l'université de Tel-Aviv et chercheur de renom international, est arrêté, jugé à huis clos pour espionnage et condamné à la peine maximale, à savoir vingt ans d'emprisonnement. Il est détenu sous un faux nom et le public ne commence à connaître quelques bribes de son histoire qu'une décennie plus tard. Celui que les services secrets israéliens ont qualifié d'«espion ayant causé les plus graves dégâts à la sécurité du pays» consigne dans ce livre le récit de sa vie depuis la fin de la Première Guerre mondiale en Pologne jusqu'à nos jours à Paris, où il vit depuis sa libération en 2003.
«Ce qui m'accablait le plus, c'étaient la honte et le regret. Pas d'avoir espionné pour l'Union soviétique, non. [...] Mon sentiment d'humiliation provenait du fait de m'être laissé briser, d'avoir coopéré avec le Shin Beth et avalé ses couleuvres.» Depuis 1950, et pendant presque trois décennies, Marcus Klingberg a été un agent du KGB, transmettant à ses officiers traitants soviétiques les résultats de recherches ultraconfidentielles menées à l'Institut de recherche biologique de Ness Ziona en Israël, où il exerce la fonction de directeur scientifique adjoint.
En janvier 1983, Marcus Klingberg, alors professeur à l'université de Tel-Aviv et chercheur de renom international, est arrêté, jugé à huis clos pour espionnage et condamné à la peine maximale, à savoir vingt ans d'emprisonnement. Il est détenu sous un faux nom et le public ne commence à connaître quelques bribes de son histoire qu'une décennie plus tard. Celui que les services secrets israéliens ont qualifié d'«espion ayant causé les plus graves dégâts à la sécurité du pays» consigne dans ce livre le récit de sa vie depuis la fin de la Première Guerre mondiale en Pologne jusqu'à nos jours à Paris, où il vit depuis sa libération en 2003.
En janvier 1983, Marcus Klingberg, alors professeur à l'université de Tel-Aviv et chercheur de renom international, est arrêté, jugé à huis clos pour espionnage et condamné à la peine maximale, à savoir vingt ans d'emprisonnement. Il est détenu sous un faux nom et le public ne commence à connaître quelques bribes de son histoire qu'une décennie plus tard. Celui que les services secrets israéliens ont qualifié d'«espion ayant causé les plus graves dégâts à la sécurité du pays» consigne dans ce livre le récit de sa vie depuis la fin de la Première Guerre mondiale en Pologne jusqu'à nos jours à Paris, où il vit depuis sa libération en 2003.