Le (dé)montage de la fiction : la révélation moderne de Mallarmé
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- Nombre de pages354
- PrésentationBroché
- Poids0.485 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-7453-3453-4
- EAN9782745334534
- Date de parution01/04/2016
- CollectionRomantisme et Modernités
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
Le texte de Mallarmé se plie et se déplie comme le voile d'une révélation qui engage tout à la fois une vérité de portée universelle et un mode d'opération à caractère initiatique. Ce qu'il divulgue, plus ou moins obscurément, c'est déjà le primat du langage et, avec lui, l'ordre du désir. Sous le nom de Fiction, Mallarmé aura désigné beaucoup plus que l'espace d'intransitivité où les mots se réfléchissent eux-mêmes : c'est l'économie de la jouissance qu'il aura suggérée.
Toute son entreprise littéraire donne en effet à penser cette économie : elle invite le lecteur à reconnaître – ou à cesser de méconnaître – ce qui s'inscrit au creux fantasmatique du langage et de la réalité sociale, c'est-à-dire le manque.
Toute son entreprise littéraire donne en effet à penser cette économie : elle invite le lecteur à reconnaître – ou à cesser de méconnaître – ce qui s'inscrit au creux fantasmatique du langage et de la réalité sociale, c'est-à-dire le manque.
Le texte de Mallarmé se plie et se déplie comme le voile d'une révélation qui engage tout à la fois une vérité de portée universelle et un mode d'opération à caractère initiatique. Ce qu'il divulgue, plus ou moins obscurément, c'est déjà le primat du langage et, avec lui, l'ordre du désir. Sous le nom de Fiction, Mallarmé aura désigné beaucoup plus que l'espace d'intransitivité où les mots se réfléchissent eux-mêmes : c'est l'économie de la jouissance qu'il aura suggérée.
Toute son entreprise littéraire donne en effet à penser cette économie : elle invite le lecteur à reconnaître – ou à cesser de méconnaître – ce qui s'inscrit au creux fantasmatique du langage et de la réalité sociale, c'est-à-dire le manque.
Toute son entreprise littéraire donne en effet à penser cette économie : elle invite le lecteur à reconnaître – ou à cesser de méconnaître – ce qui s'inscrit au creux fantasmatique du langage et de la réalité sociale, c'est-à-dire le manque.