Le culte de la terre au pays Dogon (Mali). Entre coutumes foncières et décentralisation

Par : Marcello Monteleone

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  • Nombre de pages332
  • PrésentationBroché
  • Poids0.365 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-336-30496-0
  • EAN9782336304960
  • Date de parution01/01/2014
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Cet ouvrage d'anthropologie juridique reconstruit les us et coutumes fonciers du Pays Dogon du Mali, à travers une série d'interviews réalisées dans la zone du haut plateau de Bandiagara de fonctionnaires de l'administration publique, de responsables claniques, de personnalités religieuses et d'experts de la culture traditionnelle animiste. Les Dogon sont un peuple d'agriculteurs, parmi les plus étudiés de toute la zone appelée bande sahélienne.
Le culte de la "terre vivante" pratiqué par ce peuple implique, dans sa fonctionnalité, un développement de la dimension du social et du droit. Mais ce culte transpire aussi les mythes et les rituels dogon, avec la beauté d'un cadre harmonieux du respect des valeurs ancestrales, d'une part et, de l'autre, un terreau pour une croissance dans la médiation et l'ouverture interculturelle. Cela constitue, à n'en pas douter, une source d'intérêt pour tout système juridique d'avant-garde, aussi bien en Afrique qu'ailleurs.
Cet ouvrage d'anthropologie juridique reconstruit les us et coutumes fonciers du Pays Dogon du Mali, à travers une série d'interviews réalisées dans la zone du haut plateau de Bandiagara de fonctionnaires de l'administration publique, de responsables claniques, de personnalités religieuses et d'experts de la culture traditionnelle animiste. Les Dogon sont un peuple d'agriculteurs, parmi les plus étudiés de toute la zone appelée bande sahélienne.
Le culte de la "terre vivante" pratiqué par ce peuple implique, dans sa fonctionnalité, un développement de la dimension du social et du droit. Mais ce culte transpire aussi les mythes et les rituels dogon, avec la beauté d'un cadre harmonieux du respect des valeurs ancestrales, d'une part et, de l'autre, un terreau pour une croissance dans la médiation et l'ouverture interculturelle. Cela constitue, à n'en pas douter, une source d'intérêt pour tout système juridique d'avant-garde, aussi bien en Afrique qu'ailleurs.