Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Sœur Marie-Elisabeth de la Transfiguration, carmélite morte le 18 avril 1999 à l'âge de 50 ans, n'est connue pour l'heure que de ses parents et amis...
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Sœur Marie-Elisabeth de la Transfiguration, carmélite morte le 18 avril 1999 à l'âge de 50 ans, n'est connue pour l'heure que de ses parents et amis et de ses sœurs carmélites de France et de Hongrie pour qui elle est encore un signe vivant de l'Amour du Christ. Entrée au Carmel de Plappeville, dans l'est de la France, puis missionnaire au Carmel de Pécs alors renaissant de ses cendres après 40 années de dispersion sous le régime communiste, cette sœur carmélite ne manque pas, au fil de ces pages, de nous émouvoir. Non que sa vie religieuse fut plus extraordinaire qu'une autre ; bien au contraire, tous les témoignages recueillis rappellent l'itinéraire d'une vie consacrée dont la simplicité fut l'un des traits les plus caractéristiques. Cette existence ne contient rien de ce qui brille aux yeux des hommes. Elle brûle de ce feu secret qui constitue l'unique trésor de ceux qui ont tout quitté pour l'obtenir. Et possède le sceau de l'authenticité d'une vie donnée à Dieu dans la faiblesse, mais qui se sait portée par la puissance d'un Amour plus fort que tout. " De cristal comme la fragilité, la luminosité, la pureté de sa voix et de son regard, et de feu comme l'Amour ardent qui la brûlait intérieurement, la vie de Sœur Marie-Elisabeth ne cesse de nous inviter à la Joie de l'Espérance qui jamais ne déçoit : " Demandons que la joie pénètre tout, écrivait-elle, que soit pour nous joie tout ce qui va de pair avec notre vie. Ainsi nous associons-nous au salut du monde. Si nous le prenons au sérieux, alors nous expérimenterons la vraie joie. "