LES MEMOIRES D'UNE GRANDE POETESSE PALESTINIENNE. "Les pierres fusent dans les rues. La faux de la mort répand l'odeur du sang jusque dans le ciel. Le sang de la jeunesse pleut sans fin. La terre frissonne sous les averses rouges, les adolescents tombent comme des étoiles filantes, visages tournés vers l'ennemi, mains fermées sur les pierres, rebelles, obstinées".
LES MEMOIRES D'UNE GRANDE POETESSE PALESTINIENNE. "Les pierres fusent dans les rues. La faux de la mort répand l'odeur du sang jusque dans le ciel. Le sang de la jeunesse pleut sans fin. La terre frissonne sous les averses rouges, les adolescents tombent comme des étoiles filantes, visages tournés vers l'ennemi, mains fermées sur les pierres, rebelles, obstinées".