L’entre-soi de cadres réunis dans le cadre d’un séminaire ou plutôt d’une « team-building » car chez ces gens-là, on aime à piller -sans science, ni conscience !- la langue de Shakespeare. Autour d’un patron acariâtre sur le déclin, mû par le seul appât du gain, gravite une galerie de personnages épinglés pour leur carriérisme et leurs mesquineries diverses. Peu à peu, cette comédie humaine à la Balzac prend un tour rocambolesque et cède la place à un scénario de fin du monde, à la fois drôle et invraisemblable.
Une satire du monde de l’entreprise où le management
libéral qui sous-tend l’organisation de notre société a pulvérisé les valeurs humanistes.
Une satire du monde de l'entreprise
L’entre-soi de cadres réunis dans le cadre d’un séminaire ou plutôt d’une « team-building » car chez ces gens-là, on aime à piller -sans science, ni conscience !- la langue de Shakespeare. Autour d’un patron acariâtre sur le déclin, mû par le seul appât du gain, gravite une galerie de personnages épinglés pour leur carriérisme et leurs mesquineries diverses. Peu à peu, cette comédie humaine à la Balzac prend un tour rocambolesque et cède la place à un scénario de fin du monde, à la fois drôle et invraisemblable.
Une satire du monde de l’entreprise où le management libéral qui sous-tend l’organisation de notre société a pulvérisé les valeurs humanistes.