Le crépuscule de l'Homo oeconomicus
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- Nombre de pages75
- PrésentationBroché
- Poids0.102 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-912969-68-2
- EAN9782912969682
- Date de parution23/11/2012
- CollectionEssais
- ÉditeurExils
- InterviewerRoman Chlupaty
- TraducteurThibaut Mosneron Dupin
Résumé
Pourquoi croyons-nous encore aux vertus de la croissance ? D'où vient cette foi que nous professons dans la rationalité de l'économie ? Malgré toutes les crises et les erreurs de prévision, pourquoi la théorie économique classique continue-t-elle de dominer les débats ? A toutes ces questions, le mathématicien canadien David Orrell, professeur à Oxford, et l'économiste tchèque Tomas Sedlacek apportent des réponses incisives et iconoclastes.
Leur dialogue permet de comprendre les enjeux de pouvoir à l'oeuvre et ouvre de nouvelles perspectives pour un monde moins absurde. Et si les chiffres, à commencer par le sacro-saint PIB, cessaient de dicter les politiques des gouvernements et de régir nos existences ?
Leur dialogue permet de comprendre les enjeux de pouvoir à l'oeuvre et ouvre de nouvelles perspectives pour un monde moins absurde. Et si les chiffres, à commencer par le sacro-saint PIB, cessaient de dicter les politiques des gouvernements et de régir nos existences ?
Pourquoi croyons-nous encore aux vertus de la croissance ? D'où vient cette foi que nous professons dans la rationalité de l'économie ? Malgré toutes les crises et les erreurs de prévision, pourquoi la théorie économique classique continue-t-elle de dominer les débats ? A toutes ces questions, le mathématicien canadien David Orrell, professeur à Oxford, et l'économiste tchèque Tomas Sedlacek apportent des réponses incisives et iconoclastes.
Leur dialogue permet de comprendre les enjeux de pouvoir à l'oeuvre et ouvre de nouvelles perspectives pour un monde moins absurde. Et si les chiffres, à commencer par le sacro-saint PIB, cessaient de dicter les politiques des gouvernements et de régir nos existences ?
Leur dialogue permet de comprendre les enjeux de pouvoir à l'oeuvre et ouvre de nouvelles perspectives pour un monde moins absurde. Et si les chiffres, à commencer par le sacro-saint PIB, cessaient de dicter les politiques des gouvernements et de régir nos existences ?
