Le courage n’a pas d’âge
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- Nombre de pages148
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.5 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-37916-128-5
- EAN9782379161285
- Date de parution01/06/2019
- CollectionTémoins
- ÉditeurEditions Maïa
- AuteurIsabelle Roels
Résumé
Je me suis retourné toute la nuit, impossible de trouver le sommeil ! Mille fois je me suis dit "tu dois le faire" et mille fois ma raison a répondu "tu es fou, tu n'as que onze ans...". Pourtant, tout seul dans le noir, j'ai pris ma décision. Je ne peux plus rester chez mon grand-père, lui ou mon oncle finiraient par me tuer ! Cela fait maintenant plusieurs mois que je tourne et retourne cette idée dans ma tête...
depuis ce jour d'hiver où mon grand-père a bien failli me fracasser le crâne avec une grosse pierre. Comme toujours mon grand-père s'est calmé et j'ai décidé d'attendre le printemps pour m'enfuir, une bonne fois pour toute ! Je pars les mains vides, ou presque, je n'ai rien à moi, juste un petit pain d'orge...
depuis ce jour d'hiver où mon grand-père a bien failli me fracasser le crâne avec une grosse pierre. Comme toujours mon grand-père s'est calmé et j'ai décidé d'attendre le printemps pour m'enfuir, une bonne fois pour toute ! Je pars les mains vides, ou presque, je n'ai rien à moi, juste un petit pain d'orge...
Je me suis retourné toute la nuit, impossible de trouver le sommeil ! Mille fois je me suis dit "tu dois le faire" et mille fois ma raison a répondu "tu es fou, tu n'as que onze ans...". Pourtant, tout seul dans le noir, j'ai pris ma décision. Je ne peux plus rester chez mon grand-père, lui ou mon oncle finiraient par me tuer ! Cela fait maintenant plusieurs mois que je tourne et retourne cette idée dans ma tête...
depuis ce jour d'hiver où mon grand-père a bien failli me fracasser le crâne avec une grosse pierre. Comme toujours mon grand-père s'est calmé et j'ai décidé d'attendre le printemps pour m'enfuir, une bonne fois pour toute ! Je pars les mains vides, ou presque, je n'ai rien à moi, juste un petit pain d'orge...
depuis ce jour d'hiver où mon grand-père a bien failli me fracasser le crâne avec une grosse pierre. Comme toujours mon grand-père s'est calmé et j'ai décidé d'attendre le printemps pour m'enfuir, une bonne fois pour toute ! Je pars les mains vides, ou presque, je n'ai rien à moi, juste un petit pain d'orge...