Le corps grec dans la peinture victorienne. Entre idéal et fantasme

Par : Anne-Florence Gillard-Estrada
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages346
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.196 kg
  • Dimensions21,0 cm × 28,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN979-10-231-0808-8
  • EAN9791023108088
  • Date de parution13/01/2025
  • CollectionMondes anglophones
  • ÉditeurPU Paris-Sorbonne

Résumé

Alors que la peinture de l'époque victorienne jouit depuis quelques années d'un regain d'intérêt dans la recherche et dans les musées, cet ouvrage cerne les contours du renouveau de l'Antiquité dans la peinture britannique de la seconde moitié du XIXe siècle. Les sujets antiques et les formes inspirées de l'art de la Grèce reviennent à la mode dans des oeuvres situées à la croisée de l'esthétisme, du néo-classicisme et du symbolisme européen.
L'intérêt pour les "formes classiques" associe des peintres tels que Burne-Jones, Leighton, Alma-Tadema, Moore, Waterhouse, De Morgan ou Whistler, qui vouent un culte à la beauté et dépeignent des corps sensuels, mais aussi troublants, représentés dans des décors antiques à la fois réinventés et documentés. Anne-Florence Gillard-Estrada aborde l'ensemble des sujets traités et représentés : visions idéales et esthétisantes, nu académique, sujets mythologiques et littéraires et scènes de la vie quotidienne.
Le corps y reflète une tension entre les discours théoriques visant à l'idéaliser et son potentiel fantasmatique, tension qui se retrouve dès la réception critique contemporaine.
Alors que la peinture de l'époque victorienne jouit depuis quelques années d'un regain d'intérêt dans la recherche et dans les musées, cet ouvrage cerne les contours du renouveau de l'Antiquité dans la peinture britannique de la seconde moitié du XIXe siècle. Les sujets antiques et les formes inspirées de l'art de la Grèce reviennent à la mode dans des oeuvres situées à la croisée de l'esthétisme, du néo-classicisme et du symbolisme européen.
L'intérêt pour les "formes classiques" associe des peintres tels que Burne-Jones, Leighton, Alma-Tadema, Moore, Waterhouse, De Morgan ou Whistler, qui vouent un culte à la beauté et dépeignent des corps sensuels, mais aussi troublants, représentés dans des décors antiques à la fois réinventés et documentés. Anne-Florence Gillard-Estrada aborde l'ensemble des sujets traités et représentés : visions idéales et esthétisantes, nu académique, sujets mythologiques et littéraires et scènes de la vie quotidienne.
Le corps y reflète une tension entre les discours théoriques visant à l'idéaliser et son potentiel fantasmatique, tension qui se retrouve dès la réception critique contemporaine.