Le corps de la reine. Engendrer le Prince, d'Isabelle de Hainaut à Marie-Amélie de Bourbon-Sicile
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- Nombre de pages541
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.296 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-262-09996-1
- EAN9782262099961
- Date de parution07/04/2022
- CollectionTempus
- ÉditeurPerrin
Résumé
L'histoire politique de la France d'Ancien Régime doit beaucoup aux femmes de pouvoir et en particulier aux reines. L'étude de leur rayonnement par l'intermédiaire de la dimension corporelle de leur existence atteste que leur fonction ne se limitait pas à l'enfantement et à l'acceptation passive d'une vie de cour monotone : bien au contraire, elles constituaient des pièces maîtresses sur l'échiquier politique et mystique de la royauté.
La symbolique plurielle de leur corps féminin, à la fois fécond, pacifique et gracieux, s'ajustait à l'autorité virile, martiale et chevaleresque du roi. Cette complémentarité, avec ses crises, ses mutations et ses permanences, s'est déployée, du Moyen Age au me siècle, au sein d'une évolution plus globale de la monarchie. A partir d'archives inédites et d'images souvent méconnues, l'historien Stanis Perez nous invite à suivre la grande épopée sensible et stratégique d'un pouvoir féminin trop longtemps occulté.
La symbolique plurielle de leur corps féminin, à la fois fécond, pacifique et gracieux, s'ajustait à l'autorité virile, martiale et chevaleresque du roi. Cette complémentarité, avec ses crises, ses mutations et ses permanences, s'est déployée, du Moyen Age au me siècle, au sein d'une évolution plus globale de la monarchie. A partir d'archives inédites et d'images souvent méconnues, l'historien Stanis Perez nous invite à suivre la grande épopée sensible et stratégique d'un pouvoir féminin trop longtemps occulté.
L'histoire politique de la France d'Ancien Régime doit beaucoup aux femmes de pouvoir et en particulier aux reines. L'étude de leur rayonnement par l'intermédiaire de la dimension corporelle de leur existence atteste que leur fonction ne se limitait pas à l'enfantement et à l'acceptation passive d'une vie de cour monotone : bien au contraire, elles constituaient des pièces maîtresses sur l'échiquier politique et mystique de la royauté.
La symbolique plurielle de leur corps féminin, à la fois fécond, pacifique et gracieux, s'ajustait à l'autorité virile, martiale et chevaleresque du roi. Cette complémentarité, avec ses crises, ses mutations et ses permanences, s'est déployée, du Moyen Age au me siècle, au sein d'une évolution plus globale de la monarchie. A partir d'archives inédites et d'images souvent méconnues, l'historien Stanis Perez nous invite à suivre la grande épopée sensible et stratégique d'un pouvoir féminin trop longtemps occulté.
La symbolique plurielle de leur corps féminin, à la fois fécond, pacifique et gracieux, s'ajustait à l'autorité virile, martiale et chevaleresque du roi. Cette complémentarité, avec ses crises, ses mutations et ses permanences, s'est déployée, du Moyen Age au me siècle, au sein d'une évolution plus globale de la monarchie. A partir d'archives inédites et d'images souvent méconnues, l'historien Stanis Perez nous invite à suivre la grande épopée sensible et stratégique d'un pouvoir féminin trop longtemps occulté.