Le corps de l'homme, image de Dieu

Par : Animaida Deroux
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages155
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.204 kg
  • Dimensions13,9 cm × 20,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-88959-281-4
  • EAN9782889592814
  • Date de parution25/02/2021
  • CollectionCollège des Bernardins. Cahier
  • ÉditeurParole et silence
  • PréfacierMatthieu Villemot

Résumé

Il est urgent de nous réconcilier avec nos corps tels qu'ils sont. C'est l'ambition de ce livre. S'appuyant sur deux grands théologiens qui ont défendu la dignité du corps : saint Irénée qui s'est battu contre la gnose, Bible en main, pour maintenir que c'est bien Dieu qui a créé les corps, que Jésus a pris un vrai corps et est vraiment ressuscité et saint Jean-Paul II qui a lutté, dans ses catéchèses, contre une société qui exploite voire marchandise le corps, a alors démontré que le corps appartenait au dessein originel de Dieu sur l'homme en en déployant sa dimension relationnelle, Animaïda Deroux nous rappelle que le corps, tel qu'il est, non le corps rêvé, appartient à l'image de Dieu en l'homme et à son au plan de salut.
Dans une partie plus existentielle, l'auteur nous propose de regarder deux corps particulièrement vulnérables : l'embryon et le grand prématuré. A l'image du pape François qui nous a invités à regarder les marges, et à respecter ceux que notre société traite comme des déchets, l'auteure nous fait là partager son expérience.
Il est urgent de nous réconcilier avec nos corps tels qu'ils sont. C'est l'ambition de ce livre. S'appuyant sur deux grands théologiens qui ont défendu la dignité du corps : saint Irénée qui s'est battu contre la gnose, Bible en main, pour maintenir que c'est bien Dieu qui a créé les corps, que Jésus a pris un vrai corps et est vraiment ressuscité et saint Jean-Paul II qui a lutté, dans ses catéchèses, contre une société qui exploite voire marchandise le corps, a alors démontré que le corps appartenait au dessein originel de Dieu sur l'homme en en déployant sa dimension relationnelle, Animaïda Deroux nous rappelle que le corps, tel qu'il est, non le corps rêvé, appartient à l'image de Dieu en l'homme et à son au plan de salut.
Dans une partie plus existentielle, l'auteur nous propose de regarder deux corps particulièrement vulnérables : l'embryon et le grand prématuré. A l'image du pape François qui nous a invités à regarder les marges, et à respecter ceux que notre société traite comme des déchets, l'auteure nous fait là partager son expérience.